Communiqué du Président de Régions
John Hodgkinson suite à la réouverture de notre site.
Par deux fois, le 20 novembre 2009 puis le 15 juillet 2010, nos amis juifs sionistes ont réussi à intimider l'hébergeur de ce site ( Viennatec en Autriche puis Masterhost en Russie) afin de le faire fermer et entraver notre liberté la plus fondamentale, celle de la parole. Ces associations sionistes (Licra, Crif, Union des Etudiants Juifs etc ) n'ont rien à faire en France. Ce ne sont pas des démocrates. Et ce ne sont pas des Français. C'est la cinquième colonne de l'état fasciste israélien. En parcourant notre site, vous verrez que bon nombre de Juifs, orthodoxes ou autres, déplorent cet état de fait et se battent contre le totalitarianisme rabbinique. Le premier à le faire fut Albert Einstein qui, dans sa lettre au New York Times (voir ci-contre) du 2 décembre 1948, mettait déjà
en garde la communauté internationale contre le nazi Menachem Begin. Albert Einstein, Juif et simultanément 'antisémite' ? Il y a 'quelque chose qui cloche' là-dedans. Il est également à noter l'étrange corrélation entre Sionisme et pédocriminalité - ce dont témoignent les efforts déployés par Bernard Kouchner, Jack Lang et Bernard Henry-Lévy en faveur du pédocriminel prédateur Raymond Liebling alias Roman Polanski. Lorsque ce dernier sodomise une Américaine de treize ans, ses coreligionnaires plaident sa relaxe en arguant qu'il est après tout un survivant du ghetto de Varsovie. Ces histoires de Shoah sont systématiquement le prétexte à justifier toutes sortes de monstruosités commises par la communauté sioniste aujourd'hui. Alors que ce ne sont surtout pas ces Juifs-là qui ont souffert aux mains d'Hitler : ils avaient déjà acheté leur billet de sortie en lingots d'or, laissant en toute bonne conscience les petits et les sans grade de la communauté juive – tailleur, cordonnier, imprimeur – à payer les pots cassés. Et c'en fut toujours ainsi. Nous sommes face à un système totalitaire qui cherche à nous asservir, nous autres Goyim, alors qu'il a déjà fait de même au petit peuple juif. Que les choses soient donc claires une bonne fois pour toutes : en France, la liberté d'expression est un principe indivisible et nous autres Français, de souche ou d'adoption, sommes les fils spirituels de Voltaire et de Diderot, ce qui implique que même si nous combattons telle ou telle idée, nous défendrons simultanément le droit de notre adversaire à l'exprimer librement. La France, c'est ça. Donc, pour reprendre la célèbre formule du nabot de l'Elysée : la France, tu l'aimes ou tu la quittes. Il n'y a pas de troisième voie sur ce point précis. Et gardez à l'esprit que le Parti National Radical est solidaire du petit peuple juif qui a tant souffert sous le régime nazi hitlérien, comme il est solidaire du petit peuple palestinien qui souffre tant aujourd'hui sous le régime nazi israélien. Les mêmes causes produiront toujours les mêmes effets. Un seul espoir : bâtir de véritables démocraties dont la pierre angulaire sera toujours la liberté d'expression. La lutte continue. Vive la France !