Sionisme et Criminalité.

Grenoble, Capitale Régionale de la Corruption.

Médina et Destot, deux nazillons khazars se faisant passer pour des Juifs. Beuh ! Lire à ce sujet notre article 'Les Khazars, ces Turcs déguisés en Juifs', article repris dans son intégralité par d'autres sites internet, dont Médiapart. Français ! La vérité vous rendra libres !

Début octobre 2009, le Parti National Radical Rhône-Alpes Auvergne, devenu par la suite le Parti Radical de France, avait mené une campagne d'affichage sur la place de Grenoble alertant le public sur l'internement abusif de Mme Faïma BOUROUH. La jeune dame avait eu le tort de dénoncer la corruption dans ce fief de la pègre rhônalpine, corruption organisée par son maire Michel DESTOT et une équipe de Khazars locaux ne reculant devant rien dans la recherche du lucre. L'internement abusif était signé Albert DUPUY, Préfet de l'Isère, dûment nommé sur nos affiches ‘Albert le Nazi'. Monsieur le Préfet avait pleuré dans les journaux, se disant mortifié par le traitement qui lui était réservé. Pas un mot de sa part pour Mme BOUROUH. Non, la victime, c'était lui, bien sûr. L'affaire a pris une grande ampleur, notre site internet (vieux de six mois seulement) enregistrant plus de mille visites par jour, avec un pic de sept mille visites début novembre. Les internautes, pas dupes, faisaient des commentaires du genre : « Et Monsieur le Préfet ? Il ne se sentirait pas juste un peu coupable, lui ? » Nos amis khazars, agacés par cette mise en cause de leur dictature de la pensée, sont allés jusqu'à Vienne convaincre l'hébergeur autrichien du site, Viennatec, à le fermer. La Licra a les bras longs. Cet autodafé en ligne perpétré par es Nazis de Grenoble a eu lieu le 20 novembre 2009. Cachez cette affiche que je ne saurais voir...

Pendant ce temps, l'Hôtel de Police de Grenoble, aux ordres de la pègre locale, cherchait désespérément à joindre John HODGKINSON, Président du PNR Rhône-Alpes Auvergne et Directeur de la Publication du site internet, afin de l'interroger suite à la plainte déposée par Albert le Nazi. Fin de non-recevoir de la part de notre Président, qui demandait que le dossier soit transmis à la gendarmerie du siège du Parti (la gendarmerie de Burzet, à l'époque) où il s'engageait à se rendre pour répondre aux questions, comme il le faisait pour toute autre affaire d'affichage concernant son Parti. Voici le courrier en question.

C'est alors que, le 30 octobre 2009, Martine VALDES-BOULOUQUE, Procureur Général de Grenoble, saisissait la Cour de Cassation en vue d'un dépaysement du dossier « dans l'intérêt d'une bonne administration de la justice », et faisant valoir que « compte tenu de la mise en cause directe du Préfet de l'Isère (NDLR : DUPUY), du député-maire de Grenoble (NDLR : DESTOT), du Bâtonnier désigné du Barreau de Grenoble (NDLR : MEDINA), ancien Président du CRIF et de la Procureure Générale près la Cour d'Appel de Grenoble (NDLR : VALDES-BOULOUQUE), cette affaire est de nature à connaître un retentissement régional significatif. Il apparaît, dans ces conditions, et plus particulièrement dans la mesure où la Procureure Générale près la Cour d'Appel de Grenoble (NDLR : c'est-à-dire elle-même) est visée, que le renvoi de la procédure devant une autre juridiction extérieure à la région sud-est est de nature à éviter que les juges naturellement compétents subissent les effets de ce retentissement local et puissent encourir des griefs de partialité. » Le 4 novembre 2009, c'était chose faite, et l'affaire fut renvoyée sur Paris.

Martine au pays des Nez Crochus.

Sur ces entrefaits, Mme le Capitaine de Police Sylvie SAULO, assistée par Mr le Commandant de Police Fonctionnel Paul SANTONI, montaient un dossier bidon contre John HODGKINSON en prétendant que le courrier qu'il avait envoyé à l'Hôtel de Police de Grenoble lundi 26 octobre 2009 constituait un « outrage à personne dépositaire de l'autorité publique ». Dans sa plainte du 28 octobre 2009, Mme SAULO (née le 9 février 1964 à Phalsbourg (MOSELLE)), précise : « Je suis Capitaine de Police et responsable du service des délégations judiciaires à la sûreté départementale de Grenoble. Mardi 27 octobre 2009, j'ai été destinataire personnellement d'une lettre recommandée fermée avec accusé de réception adressée par monsieur John HODGKINSON et comportant sa signature. Elle est datée du 26 octobre 2009. »

Le Parquet de Grenoble, pourri jusqu'à la moelle à l'image de son Procureur Jean PHILIPPE, pervers notoire dont vous pouvez lire un exemple de ses exploits en cliquant ici, se dépêcha donc de monter un faux procès en ‘outrage à dépositaire de l'autorité publique' contre John HODGKINSON. Faux, en effet, car la loi est très claire : l'outrage à dépositaire de l'autorité publique ne peut exister dans le domaine des écrits publics qui, eux, tombent sous le coup de la loi du 29 juillet 1881 sur la Presse. Cette loi est dérogatoire au droit commun. Or, Mme Sylvie SAULO, tout comme Mr Paul SANTONI, tout comme Mr Jean PHILIPPE, savaient pertinemment que le courrier incriminé avait été mis en ligne sur notre site lundi 26 octobre 2009, avant son envoi à Sylvie SAULO. Il s'agissait donc, sans l'ombre d'un doute, d'un écrit public et non pas privé. Dans ces conditions, lors de l'audience du 11 mars 2011 devant le Tribunal Correctionnel de Grenoble, une seule solution s'imposait au magistrat : la relaxe pure et simple. Ayant soulevé ce point (exception de nullité) et ayant déposé ses pièces, John HODGKINSON a quitté la salle d'audience, arguant que la Juge, Mme N. GOUY-PAILLIER, devait se récuser elle-même car ayant déjà connu du dossier en ses fonctions de juge à Grenoble, dont l'ensemble de la magistrature avait été mis en cause dans l'affaire FORNEY-DESCOURS qui était largement citée dans le courrier de John HODGKINSON du 26 octobre 2009. Mme GOUY-PAILLIER, qui avait condamné personnellement René FORNEY à quatre mois de prison avec sursis le 9 janvier 2006 dans une affaire connexe où la corruption de ses pairs était dénoncée tous azimuts, a décidé de passer outre et de statuer. Son jugement ‘impartial' ? Condamnation de John HODGKINSON à trois mois de prison ferme. Tout simplement.

Si l'on avait besoin d'une preuve supplémentaire de la corruption régnant sur la place de Grenoble, Mme GOUY-PAILLIER nous l'apporta dans ce jugement, dont nous avons reçu copie de la part du Parquet Général par courrier du 7 juin 2011. « Attendu que John HODGKINSON fournissait à l'appui de sa demande (NDLR : en nullité) une impression d'une page internet portant mention de trois fichiers « policegrenoble.htm du 26 octobre », « policegrenoble.jpg du 26 octobre », « policegrenoble.htm du 26 octobre », ainsi que trois pages imprimées qui semblaient être la diffusion d'un site PNR dont le Président apparaissait comme étant l'intéressé lui-même, mais qu'aucun de ces documents transmis ne contenait la preuve de la diffusion des propos tenus à l'égard de Mme SAULO ; attendu en conséquence qu'il n'était pas établi que les propos tenus à l'égard de Mme SAULO dans le cadre d'un courrier sous pli fermé, aient antérieurement fait l'objet d'une publication ; attendu en conséquence que les faits sont justement qualifiés et qu'il convient de rejeter l'exception de nullité ; attendu que John HODGKINSON ne contestait pas être l'auteur du courrier adressé à Mme SAULO, ni le caractère outrageant des propos tenus, qu'il estimait être une réponse au comportement des fonctionnaires de police ; attendu que les phrases suivantes « Vous falsifiez a posteriori les procès-verbaux d'audition », « Vous et vos collègues déshonorez la Police nationale de France » constituent à l'évidence une mise en cause de l'honnêteté et de l'honneur de Mme SAULO et doivent être considérées comme outrageantes ; attendu en conséquence que les faits sont établis et qu'il convient d'entrer en voie de condamnation à l'encontre de John HODGKINSON ; attendu que John HODGKINSON a déjà fait l'objet de plusieurs condamnations, notamment pour des faits de violences et de diffamation ; attendu qu'il n'a manifesté aucune intention de modifier son comportement ; attendu que compte tenu de la gravité des faits et des éléments de personnalité, il convient de prononcer contre lui la peine de trois mois d'emprisonnement. »

En matière de ‘gravité des faits', nous nous permettons de citer l'article 432-15 du Code Pénal : « Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public, un comptable public, un dépositaire public ou l'un de ses subordonnés, de détruire, détourner ou soustraire un acte ou un titre, ou des fonds publics ou privés, ou effets, pièces ou titres en tenant lieu, ou tout autre objet qui lui a été remis en raison de ses fonctions ou de sa mission, est puni de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende. La tentative du délit prévu à l'alinéa qui précède est punie des mêmes peines. »

C'est bien de ce crime-là que s'est rendue coupable Mme GOUY-PAILLIER dans le cadre de ce dossier. Car Mme le Juge a tout simplement écarté du dossier soumis par John HODGKINSON la pièce principale. Il s'agit d'une ordonnance de renvoi devant le Tribunal Correctionnel de Paris (NDLR : pour l'affaire 'Albert le Nazi') signée Mme Jeanne DUYE, Vice-Présidente Chargée de l'Instruction au Tribunal de Grande Instance de Paris, en date du 2 février 2011. A la page 3 de cette ordonnance, on peut lire  : « Un premier contact téléphonique des enquêteurs (NDLR : en l'occurrence, Mme SAULO) avec l'intéressé (NDLR : John HODGKINSON) devait être écourté compte tenu des multiples digressions de ce dernier, qui accusait notamment le policier interlocuteur de faire partie du système de corruption généralisée qu'il entendait justement dénoncer. Mr HODGKINSON adressait par ailleurs un courrier aux enquêteurs en indiquant qu'il ne donnerait pas suite à leur convocation, et diffusait ce courrier sur le site internet précité. » Le français est précis : « Il adressait … ET diffusait. » Mme DUYE aurait pu écrire : « Il adressait … PUIS diffusait », mais elle ne l'a pas fait. Et pour cause. John HODGKINSON adressait donc le courrier le 26 octobre 2009 et diffusait (simultanément) le même courrier le 26 octobre 2009. Il y a eu donc diffusion le 26 octobre 2009 avant réception le 27 octobre 2009, ce que savait parfaitement Sylvie SAULO, car elle était, selon ses propres dires, chargée de suivre ce dossier à l'Hôtel de Police de Grenoble. Pour reprendre donc la phrase de Mme GOUY-PAILLIER, « les faits sont établis » : la Police de Grenoble est corrompue, la magistrature de Grenoble est corrompue, le Parquet de Grenoble est corrompu. Notons que ce dernier, sous la houlette du truand et pervers notoire Jean PHILIPPE, a refusé communication du dossier à John HODGKINSON avant l'audience du 11 mars 2011, ce qui est contraire à tous nos principes de droit et notamment à l'article préliminaire du Code de Procédure Pénale. John HODGKINSON avait donc tout à fait raison de « ne manifester aucune intention de modifier son comportement » dans l'affaire, ce qui veut dire, en bon français, que notre Président ne se laissa et ne se laissera pas intimider par la pègre institutionnalisée de Grenoble, ville-martyre occupée, comme il y a 70 ans, par une puissance étrangère (les Khazars, cette fois-ci) y ayant instauré un régime totalitaire bafouant tous les principes de la démocratie, de la loi française et des droits de l'homme. Une plainte pénale a été déposée contre Mme GOUY-PAILLIER par John HODGKINSON aux termes de l'article 432-15 du Code Pénal précédemment cité, et une autre contre Sylvie SAULO et Paul SANTONI pour dénonciation calomnieuse aux termes de l'article 226-10 du Code Pénal (délit sanctionné de cinq ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende). Espérons que ces deux policiers ripoux seront lourdement sanctionnés et révoqués comme le fut leur 'patron' Bruno CWIKOWSKI vingt ans plus tôt. Nos 'interlocuteurs' de l'Hôtel de Police, pour reprendre la formule de la Juge DUYE, "font partie du système de corruption généralisée que John HODGKINSON entendait justement dénoncer." La preuve en est désormais rapportée.

Il reste à préciser que John HODGKINSON a demandé et redemandé le dépaysement de ce dossier. Les faits lui donnent raison, puisque la corruption de Mme GOUY-PAILLIER est désormais clairement établie. En réponse à sa dernière demande de dépaysement, où il apportait cette preuve de corruption, le Procureur Général près la Cour de Cassation lui a répondu par un refus en date du 7 juillet 2011 qu'il motivait en ces termes : « Or, si vous faites état dans votre courrier d'un certain nombre de griefs contre le Tribunal correctionnel de Grenoble, vous n'apportez aucun élément nouveau relatif aux magistrats qui composent la Chambre des Appels correctionnels de la Cour d'Appel de Grenoble. » Il est à préciser que la Cour d'Appel de Grenoble et le Tribunal correctionnel de Grenoble sont situés dans le même bâtiment, place Firmin Gautier. Etrange notion de la ‘justice' ! La preuve de la corruption d'un magistrat, en l'occurrence Mme GOUY-PAILLIER, est qualifiée de « un certain nombre de griefs ». Et on doit supposer, en suivant la logique du Procureur Général près la Cour de Cassation, que les magistrats de la Cour d'Appel de Grenoble fonctionnent dans une bulle juridique et sociale, en dehors de toute influence de la part de leurs collègues de l'étage inférieur, ou du pouvoir politique local, ou du Parquet Général de Grenoble, ou de la hiérarchie (complètement pourrie et aux ordres de truands tels Bruno CWIKOWSKI) de son Hôtel de Police. Un nouveau concept est né : la 'bulla juridica' de la Cour d'Appel de Grenoble ! En matière d'indépendance des magistrats, avouez que c'est beaucoup demander de leur part. Ce serait donc des surhommes, en quelque sorte. Ou bien des Martiens ? La Mafia serait donc 'in Sicilia', et la magistrature 'in bulla' ? Dans ces conditions, on observera avec un certain intérêt le comportement du Président de la Cour d'Appel lors de l'audience du jeudi 1er septembre 2011 à 14 heures. To be 'in bulla' or not to be 'in bulla' ? That is the question, Monsieur le Président...