La Tyrannie Cachée
Par Benjamin Freedman
NOTE de bobGratton : la traduction n'est pas parfaite comme vous pourrez le constater. J'apporte quelques corrections à temps perdu à l'original de iamthewitness.com, merci à eux, il reste bien sûr beaucoup à faire, mais l'important, c'est de comprendre.
NOTE du Parti Radical de France : nous avons beaucoup corrigé le français quelque peu approximatif de cet article. Pour bien faire, il serait utile de le confronter à la version originale ('The Hidden Tyranny') afin d'éliminer les dernières fautes. Le temps nous manquant, cet exercice-là sera pour plus tard. En attendant, comme dit si bien Bob Gratton, "l'important, c'est de comprendre".
La Tyrannie Cachée - (Traduit du livre: The Hidden tyranny)
iamthewitness.com
Par Benjamin Freedman, Jewish Conspirator Emeritus
Ce document de Benjamin Freedman révèle des événements peu connus, qui en vérité ont déterminé l'histoire du monde durant ce 20 ème siècle. Vous serez peut être choqués d'apprendre pourquoi les USA entrèrent dans la première guerre mondiale, et même sidérés quand vous considérerez que le destin du monde a été décidé par un ‘coureur de jupon' qui ne pouvait pas se passer de femme mariée et qui, confronté à la possibilité d'être dénoncé, ne fut pas assez courageux pour affronter ses maîtres chanteurs et les envoyer au diable.
Une confirmation des accusations sus mentionneés se trouve pages 139-141 du livre : « My Exploited Father in Law, » de Curtis B. Dal (Christian Crusade publication, Tulsa, Oklahoma,) ainsi que pages 20-23 du livre « When The Cheering Stopped » de Gene Smith ( Morrow & Co . New york.)
Benjamin Freedman s'est rendu actif en politique très jeune et a fréquenté de très importantes personnalités, il côtoya successivement sept présidents américains et fut même familier avec eux. Il fut par ailleurs une importante figure du monde industriel, jusqu' à devenir à une certaine période, le principal propriétaire de la « Woodbury Soap Company .»
Quoiqu'élevé en tant que Juif, l'auteur devint dégoûté de leur hypocrisie et du Judaïsme au point de devenir un fervent Chrétien.
Table des Matières
1. Les sept maîtres de la tromperie
2. Les Juifs sionistes contrôlent l'information et réglementent les mass média.
3. Le président Wilson victime d'un chantage.
4. Le juge Brandeiss , pour renvoyer l'ascenseur.
5. Le premier ministre britannique Lloyd George, une marionnette sioniste.
6. Le Colonel House, une énigme conspiratrice.
7. Les Sionistes font entrer les alliés américains dans la première guerre mondiale.
8. Les Sionistes promettent la victoire à l'Allemagne puis la trahissent.
9. Le boycott sioniste international contre l'Allemagne engendre des crises internes.
10. Franklin Roosevelt manipulé par les Sionistes.
11. Des révélations choquantes du ministre de la défense Stimson concernant la deuxième guerre mondiale.
12. Les conspirateurs sionistes provoquent l'attaque de Pearl Harbor .
13. H.J.117 - Eisenhower marche au pas de la comédie sioniste.
14. Eisenhower exauce les voeux sionistes au Moyen Orient.
15. Kennedy fait le serment aux Sionistes qu'il les soutiendra même au risque d'une guerre.
16. L'ambassadeur Kennedy écarté politiquement pour avoir révélé les conspirations sionistes.
17. Lyndon Johnson orchestra la guerre des six jours.
18. La main cachée sioniste contrôle le vote américain à l'ONU.
19. L'accomplissement de la conspiration des Rothschild.
20. La fortune mondiale des Rothschild risquerait la faillite sans le contrôle des Sionistes au Moyen Orient.
1 - Les sept maîtres de la tromperie
Les noms des présidents Woodrow Wilson, Franklin D. Roosevelt, Harry S. Truman, Dwight D. Eisenhower, John Kennedy, Lyndon B. Johnson et Richard M. Nixon seront certainement un jour trouvés gravés en grandes lettres majuscules rouges dans les annales officielles de la grandeur et chute des USA. Ces sept maîtres de la tromperie se sont rendus coupables d'avoir trahi le serment solennel prêté à leur haute fonction officielle de respect des principes secrets de politique générale ; ceci sans aucun scrupule ni hésitation, juste afin d'atteindre leur intérêt politique, totalement insouciants de la menace qui pèse sur la sécurité et la survie des USA.
Ces sept maîtres de la tromperie ont en toute préméditation et connaissance de cause et d'effet ''empoisonné le puits de la sécurité et de la survie des USA''. Sans aucun scrupule apparent, ils ont à tour de rôle, trahi la tradition sacrée gravée dans la lettre et l'esprit de leur serment solennel lié à leur mission officielle, ce précieux héritage légué comme testament à chacun de ces sept maîtres de la tromperie, en tant que haute fonction exaltée par l'immortalisé premier président des USA, le vénéré George Washington.
Les révélations qui suivent, sont maintenant faites pour la première fois au peuple américain. La stratégie secrète « antiaméricaine » et « non américaine » adoptée en toute connaissance de cause par ces sept maîtres de la tromperie, l'exercice incontrôlé de cette stratégie est en grande partie responsable de la situation désespérée et dangereuse que vivent aujourd'hui les USA dans le Moyen Orient.
Très tôt dans leur carrière politique, ces sept maîtres de la tromperie, par leur détermination, acquirent l'habilité à détecter le meilleur moyen d'atteindre leur but. Leur remarquable perfection dans ce style explique le pourquoi et le comment de l'évolution haute et rapide de ces sept maîtres de la tromperie tout au long des années où ils furent présents dans le monde politique. Tout au long de leur carrière politique ces sept maîtres de la tromperie démontrèrent que leurs combines politiques s'identifient invariablement aux dogmes des politiciens du vingtième siècle, qui prêchent et pratiquent la notion de « la fin justifie les moyens. » Inéluctablement, la future population de base américaine trouvera un jour gravé dans l'histoire de la grandeur et chute des USA, le verdict révélant que les ‘‘ moyens'' précisément utilisés par ces sept maîtres de la tromperie, furent primordialement responsables de la ''fin'' des USA.
C'est de nos jours un fait réel dans les cercles politiques américains, que la censure exercée par les Sionistes sur les mass média constitue un monopole virtuel. C'est par ailleurs un fait réel et reconnu dans les milieux politiques américains, et ceci depuis l'élection de Woodrow Wilson à la présidence en 1912, que la victoire aux élections américaines est rarement remportée ou perdue en fonction des compétences du candidat postulant. Les élections américaines depuis 1912, sont gagnées ou perdues à l'issue d'une bataille médiatique par assassinat politique interposé.
Les magnats sionistes de l'information ou bien les sociétés sous contrôle sioniste, effectivement et réellement, monopolisent et censurent l'information et la déontologie, aussi bien des principaux journaux quotidiens, hebdomadaires, mensuels, que de la radio et de la télévision, en passant par l'industrie cinématographique et la publication du livre ; en d'autres termes, tout le complexe médiatique et de l'information américaine n'est qu'un système de lavage de cerveau.
2 - Les Juifs sionistes contrôlent l'information et réglementent les mass média.
Le résultat de ce conditionnement est que, depuis cinquante ans, le peuple américain ne fait que lire, écouter et voir, ce que filtre la censure sioniste et sert au mieux son intérêt ; au lieu de lire, d'écouter, de voir, ce qui servirait le mieux les intérêts de la population américaine. Les mass média américains, dirigés par les Sionistes n'ont jamais informé la population américaine de la cause et de l'origine de l'engagement américain, par le président Woodrow Wilson, au Proche Orient, où aujourd'hui elle se trouve dans une impasse totale. Dans la délibération rendue relative aux soi disants vols de documents du Pentagone, la Cour suprême américaine a déclaré : « Le public a le droit de connaître la vérité. » La Cour suprême aurait dû dire : « Le public a le droit de connaître '' toute'' la vérité. » Parce que une demi-vérité est souvent pire qu'un mensonge.
Les USA déclarèrent la guerre à l'Allemagne le 6 Avril 1917. Dès le 2 Avril 1917 ; c'est le président Wilson qui s'adressant à la Chambre des représentants et au Congrès leur demanda de déclarer la guerre à l'Allemagne. Cette demande faite au Congrès était en vérité ''le prix à payer'' par le président Wilson à ses maîtres chanteurs. Les faits qui vont être mentionnés ci dessous confirmeront irréfutablement ces révélations et répondront à tout genre de question en ne laissant place à aucun doute.
Les mains du président Wilson tremblaient durant ce discours. Les membres du Congrès n'avaient aucune raison de se douter de ces tremblements de mains. En finissant de lire l'explication, on comprendra aisément la cause du tremblement de mains du président. A la fin de ce discours, un grand nombre de l'Assemblée présente tomba en larmes ; mais pas pour les mêmes raisons qu'auraient certains lecteurs à tomber en larmes à la fin de ce livre.
Le président Wilson demanda au Congrès de déclarer la guerre à l'Allemagne, ayant pour unique but de régler la dette qu'il s'était contractée auprès des Sionistes. Le Congrès déclara la guerre à l'Allemagne juste parce que le président Wilson les informa qu'un sous marin allemand avait coulé le navire Sussex au large des côtes anglaises, et donc en totale violation des lois internationales, ceci causant la mort de citoyens américain à bord. Ce n'est seulement qu'après que les troupes américaines du général Pershing cessèrent de se battre en Europe que ‘‘le pot aux roses'' fut découvert. La soi-disante attaque contre le SS. Sussex n'était qu'un prétexte permettant l'entrée en guerre des USA contre l'Allemagne.
Le Navire SS. Sussex, n'a jamais été coulé et aucun Américain n'avait péri à bord. Les USA étaient d'ores et déjà en guerre en Europe aux côtés des Britanniques.
C'est toutefois ce que les Britanniques et les Sionistes internationaux conspirèrent de réaliser dans leurs combines diplomatiques corrompues. La découverte du ‘‘coup de bluff '' par la marine britannique choqua de nombreuses personnalités anglaises. Une partie importante du public britannique fut tout aussi choquée d'apprendre que le SS.Sussex n'avait jamais été coulé. Par ailleurs ce navire fut ouvert à la curiosité du public qui l'inspecta de ses propres yeux.
Durant cette guerre les USA mobilisèrent 4 734 991 de personnes, dont 115 516 trouvèrent la mort, et 202 002 furent blessées gravement ou handicapées à vie.
Francis Neilson , un membre britannique du parlement et de la Chambre des Lords, écrivit un livre intitulé : « Makers of Wars » Ce livre engendra un tel tollé en Angleterre que son auteur fut contraint de démissionner de sa fonction au sein du parlement. La situation fut tellement intolérable et invivable pour Mr Nielson , du fait des révélations contenues dans son livre, qu'il dû quitter l'Angleterre pour se réfugier en Amérique. Dans ce livre, l'auteur dévoile de nombreux secrets et raisons cachés qui sont à l'origine de l'entrée en guerre des USA en avril 1917. Quant à la soi-disante attaque du SS. Sussex, Nielson souligne : « En Amérique, Woodrow Wilson, désespéré de présenter un prétexte valable à une entrée en guerre, la trouva au moins dans l'attaque du Sussex. Quelqu'un inventa une histoire où des vies américaines avaient été perdues. Muni de cette excuse, il alla au Congrès pour une déclaration. En fin de compte la marine ne constata ni attaque ni perte humaine. » L'auteur fit la traversée vers l'Angleterre à maintes reprises à bord du navire Sussex. Cette soi-disante attaque n'était que le fruit d'une imagination sioniste saturée. Cette attaque bidon, fut élaborée par une pensée sioniste afin de faciliter un plan orchestré et exécuté à merveille.
3 - Le président Wilson victime d'un chantage.
Peu de temps après que le président Wilson inaugura son premier mandat, il eut la visite d'un certain Samuel Untermeyer . Mr Untermeyer était un avocat new-yorkais renommé qui par ailleurs finança généreusement le parti National Démocratique responsable de l'installation de Woodrow Wilson à présidence lors de l'élection de 1912. Untermeyer était un invité hautement estimé et le Président était ravi de le recevoir à la Maison Blanche. Les deux hommes s'étaient déjà rencontrés durant la compagne présidentielle. Untermeyer surprit le président quand il lui apprit le véritable motif de sa visite. Untermeyer l'informa qu'il avait été chargé d'entamer une procédure légale contre lui ; procédure qui se basait sur une révélation le concernant, mais que sa cliente était prête à accepter une somme de $40 000 pour annuler cette action légale. Cette cliente était l'ex femme d'un professeur de l'Université de Princeton, du temps où Mr Wilson enseignait à cette même université. Untermeyer avait apporté une pile de lettres, toutes écrites par le Président Wilson à la femme de son collègue du temps où ils habitaient le même quartier de la Princeton University . Ces lettres révélaient la liaison adultère existant entre le président Wilson et l'épouse de son collègue. Il lui avait écrit de nombreuses lettres ‘idylliques' dont elle avait conservé la grande majorité. Le président reconnut ses écrits après en avoir lu quelques uns.
Le président Wilson quitta l'Université de Princeton pour devenir Gouverneur du New Jersey. En 1912 il fut élu pour un premier mandat à la présidence des USA. Entre-temps, l'ex -maîtresse du Président divorça de son premier mari puis se remaria. Son deuxième mari habitait Washington et avait un fils employé à une banque de Washington. Untermeyer expliqua au Président que son ex-maîtresse était très attachée à son beau fils qui, lui, avait des problèmes financiers, se trouvant dans l'impossibilité de régler une dette de $40 000 qu'il devait à la banque qui l'employait. Les détails étaient peu importants dans ce cas précis, à part que ce fils avait un besoin urgent et pressant de cette somme. Si bien que cette ex-maîtresse du Président vit en lui la solution idéale pour l'obtention de cet argent. En d'autres termes donc, Untermeyer rendit visite au Président Wilson à la Maison Blanche juste pour l'informer du contentieux juridique qui se dessinait. Le président lui avoua qu'il se sentait soulagé du fait que cette ex-maîtresse se soit adressée à Mr Untermeyer en tant que conseiller. La mauvaise publicité eût été embarrassante si cette dame avait consulté un avocat républicain.
D'emblée, le Président informa Mr Untermeyer qu'il ne possédait pas cette somme d'argent. Mr Untermeyer lui suggéra d'y réfléchir plus sereinement ; tout au moins jusqu'à une prochaine visite qu'il effectuerait ultérieurement. Mr Untermeyer séjourna durant cette attente à Washington afin de vérifier le bien-fondé de la situation financière du fils en question. Effectivement, il apprit que toute l'affaire était bel et bien réelle.
Comme convenu, Mr Untermeyer retourna à la Maison Blanche pour voir le Président Wilson. Celui-ci n'hésita pas à l'informer qu'il n'avait pas la somme demandée par ses maîtres chanteurs. Il était consterné. Après quelques instants de silence, Mr Untermeyer se porta volontaire pour régler le problème. Il s'engagea de ce fait à fournir la somme de sa propre poche et donc de faire taire l'ex-maîtresse. Mais sous la condition que le Président Wilson lui promette de désigner à la Cour suprême américaine, un nominé qu'il aurait lui même préalablement recommandé ; et ceci au prochain poste vacant. Le Président Wilson accepta le marché. Mr Untermeyer paya donc les $40 000 au maître chanteur, en l'occurrence l'ex-maîtresse, qui en fin de compte annula la procédure judiciaire. Mr Untermeyer garda en sa possession la pile de lettres. Le Président Wilson lui fut des plus reconnaissants pour s'être donné tant de peine.
Mr Untermeyer était richissime ; le bureau d'avocat new-yorkais qu'il dirigeait, Guggenheim Untermeyer et Marshall est, jusqu'à nos jours, un des plus prestigieux et prospères cabinets d'avocats. Mr Untermeyer fonda la Bethlehem Steel Company pour un de ses amis, Mr Charles Schwab, qui quitta la Société Nationale Américaine des Aciers ; pour fonder sa propre compagnie, qui devint de fait la principale rivale de la première.
4 - Le juge Brandeiss , pour renvoyer l'ascenseur.
Comme tout un chacun pourrait l'imaginer et à juste titre, Untermeyer avait quelque chose derrière la tête quand il se porta volontaire pour régler la dette de $40 000 à l'ancienne maîtresse du Président Wilson. Il le fit dans l'espoir de voir se réaliser un vieux rêve : un Juif sioniste à la Cour suprême américaine, où aucun Juif n'avait encore jamais servi. Le jour arriva bientôt où le Président se vit obligé de désigner un nouveau nominé à la Cour suprême. Mr Untermeyer recommanda donc Louis Dembitz Brandeiss pour le poste vacant ; Il
fut nominé sur le champ. Président Wilson et le juge Brandeiss devinrent du jour au lendemain de ‘vieux amis'. Evidemment, le juge Brandeiss était au courant des causes de sa nomination à ce poste.
En 1914, le juge Brandeiss était le plus important parmi les Sionistes américains influents. En tant que juge de la Cour suprême, Brandeiss était plus que jamais en position idéale d'oeuvrer pour la cause sioniste juive, aussi bien de l'intérieur qu'à l'étranger. La première occasion de rendre un immense service pour ses comparses sionistes venait de se présenter. Le juge Brandeiss proposa donc son opinion au Président, à savoir que l'attaque du SS.Sussex par un sous-marin allemand entraînant la perte de vie américaines, justifiait l'entrée en guerre de l'Amérique contre l'Allemagne. Se basant en grande partie sur l'opinion juridique de Brandeiss , le président Wilson s'adressa donc aux deux Chambres du Congrès le 2 Avril 1917.
Il faut savoir que, suite à l'accord de Londres d'Octobre 1916 conclu entre le British War Cabinet et l'organisation sioniste mondiale, le Sionisme international espéra la venue d'un accident majeur qui eût justifié l'entrée en guerre des Américains contre l'Allemagne.
La déclaration de guerre américaine contre l'Allemagne garantissait aux Sionistes que la Palestine leur serait offerte en cas de défaite allemande. Cette défaite serait quasi certaine si l'Amérique pouvait être embarquée dans le conflit. Il faut souligner qu'avant l'accord de Londres d'Octobre 1916, les Sionistes de par le monde étaient tous pro-allemands .
L'édit d'émancipation de 1822, en Allemagne, garantissait aux Juifs toutes les libertés civiles dont jouissait le peuple allemand lui-même. N'oublions pas qu'à cette époque l'Europe entière réglementait l'activité sociale des Juifs en utilisant le système des ‘quotas' ; en vigueur depuis plusieurs siècles à travers l'Europe. Durant des siècles donc, ce système limitait, réglementait et régulait le développement de la société juive à laquelle il n'était permis d'exercer une quelconque activité qu'à un faible pourcentage comparé à celui de la population chrétienne. Cela comprenait toute les catégories et classes sociales. Après l'édit d'émancipation de 1822, l'Allemagne était le seul pays d'Europe qui abolit toute inégalité sociale en matière de quota à l'encontre des Juifs, qui avaient été privés de tout droit civil. Un télégraphe de confirmation fut envoyé de par le monde aux Sionistes pour les informer de l'accord de Londres. Cette nouvelle fut en quelque sorte une mutation qui les transforma de pro-allemands en pro-anglais . Les Sionistes anglais eurent à leur entière disposition à Londres, les codes secrets britanniques et télégraphes internationaux leur permettant de contacter le Sionistes de par le monde afin de les informer du Pacte britannique ayant trait à la concession de la Palestine comme récompense de leur effort pour faire intervenir les USA dans la guerre.
En 1916, un grand nombre de Sionistes s'engagèrent dans le Ministère de la Défense britannique. Leur mission était d'anticiper la transformation de tous les Sionistes pro-allemands en pro-anglais . Après l'accord de Londres de 1916, la Grande Bretagne usa de tous les moyens pour convaincre les Sionistes du monde d'officialiser le Pacte prévoyant de leur donner la Palestine pour devenir leur futur état souverain sioniste.
Le 2 avril 1917, le président Wilson s'adressa en session commune aux deux Chambres du Congrès. Utilisant les recommandations du juge Brandeiss ; il prétexta que l'attaque par la marine allemande du S.S.Sussex justifiait une déclaration de guerre contre l'Allemagne selon les lois internationales. Dans ce discours, le président Wilson demanda au Congrès de déclarer la guerre à l'Allemagne.
Le 6 avril 1917, le Congrès siégea et décida de déclarer la guerre à l'Allemagne sans la moindre justification réelle.
Ce même 6 avril 1917, le Président Wilson et le juge Brandeiss étaient au courant d'une information que le peuple américain ignorait : l'accord de Londres d'Octobre 1916. Ils savaient en outre que l'entrée en guerre de l'Amérique était le résultat de cet accord. Les Sionistes internationaux attendaient donc impatiemment d'encaisser leur récompense qui était la Palestine, tout cela bien sûr si le plan se déroulait comme prévu. Toujours à cette même date, le Président Wilson et le juge Brandeiss savaient, et là ils étaient vraiment les seuls, une chose que personne ne savait. Cette entrée en guerre de l'Amérique déchargeait complètement le président Wilson de sa dette envers ses maîtres chanteurs qui dès lors s'en satisfaisaient.
Rarement on eut une requête présidentielle d'une telle intensité, enflammant non seulement le peuple américain mais aussi le monde, que cette déclaration de guerre du 2 avril 1917. Durant ce discours, le président Wilson était parfaitement conscient de l'innocence totale de l'Allemagne, et qu'en aucun cas elle n'avait commis un acte justifiant une entrée en guerre de l'Amérique. L'auteur de ces lignes côtoyait le président Wilson durant cette période même ; et il ne se priva pas de l'informer sur ce sujet, juste avant qu'il ait lu son discours au Congrès.
5 - Le premier ministre britannique Lloyd George, une marionnette sioniste.
L'accord de Londres d'octobre 1916 suscita un grand scepticisme de la part de beaucoup de Sionistes qui doutèrent de sa véracité ; trouvant difficile à avaler la promesse britannique de leur concéder la Palestine pour leur coup de main à monter l'Amérique contre l'Allemagne. Effectivement, ces Sionistes croyaient peu probable que l'Angleterre puisse promettre à quiconque quelque chose qui ne lui appartenait pas. Cela leur paraissait inconcevable du fait de la réputation de l'Angleterre et de son respect du droit de la propriété sous ses lois. Pour effacer ce doute de l'esprit des Sionistes américains, le Premier ministre britannique Lloyd George chargea à la hâte, Mr Josiah Wedgewood d'une mission en Amérique. Wedgewood était un des plus réputés et fervents membres du Parlement britannique. Mais il serait utile de rappeler quelques étapes menant à cet événement.
Le 4 décembre 1916, à la surprise générale, on vit la désignation d'un nouveau Premier ministre britannique, Lloyd George ; zélé et ardent Sioniste. Le précédent Premier ministre était, semble-t-il, antipathique aux goûts des Sionistes, qui s'en débarrassèrent, car ne pouvant pas le manipuler à leur guise. Le 5 décembre 1916, Lloyd George, pressé par les Sionistes londoniens, poussa Wedgewood à se rendre en Amérique.
En octobre 1916, l'Angleterre n'avait aucun espoir de victoire. La capitulation était sérieusement considérée. L'Allemagne avait fait plusieurs offres de paix à l'Angleterre afin d'interrompre le conflit. Cette mission forcée et hâtive de Wedgewood , était des plus vitales pour la survie même de l'Angleterre, aux yeux de Lloyd George. Mr Wedgewood avait pris la précaution de se munir de tous les documents prouvant cet accord pour les présenter devant les Sionistes américains.
6 – Le Colonel House, une énigme conspiratrice.
Le 23 décembre 1916, Wedgewood débarqua en Amérique et fut reçu à même le quai par le Colonel Edward Mandel House, le plus proche ami du président Wilson, et son plus fidèle conseiller. Durant son séjour new-yorkais, Wedgewood partagea la résidence de la 54 ème rue du Colonel House avec ce dernier. Durant sa jeunesse, le Colonel House faisait le négoce du coton américain pour le compte des Rothschild. Le Colonel House lui-même n'a ni démenti ni confirmé ses origines juives à l'auteur. Le Colonel House s'était chargé d'arranger le rendez vous où les preuves de l'accord d'octobre 1916 seraient exposées. Cette rencontre devait avoir lieu un dimanche après midi, en l'occurrence le 25 décembre à l'hôtel Old Hotel Savoy situé entre la 29 ème et la 5 ème Avenue à New York. L'auditoire était composé de 21 Juifs sionistes, tous attendant que le Colonel House leur présente Wedgewood . Ce dernier présida donc la séance, exposant toutes les preuves pour effacer les doutes des 21 Juifs concernant le fameux accord de Londres de 1916. Représentant le premier ministre britannique Lloyd George, Wedgewood avança encore plus de garanties à la promesse britannique d'octroyer la Palestine aux Sionistes comme récompense pour l'aide qu'ils avaient fournie en faveur de l'engagement américain contre l'Allemagne. Le premier effet direct de l'accord de Londres fut que l'Angleterre pria les Juifs anglais de prendre plus de responsabilités et d'activités au sein du Ministère de la Défense, et ceci tant que la guerre durerait. Ceux qui acceptèrent cette offre furent tous formés à l'utilisation des réseaux télégraphiques et diplomatiques ainsi que des codes de transmission britanniques. Les archives britanniques concernant la première guerre mondiale effaceront toute spéculation : les commanditaires du message télégraphique concernant la soi-disante attaque du S.S. Sussex étaient bel et bien des Juifs du Ministère de la Défense, qui l'envoyèrent à leurs homologues américains. Les documents à ce sujet sont formels. Le canular de la soi-disante attaque du S.S.Sussex et de la perte de vies américaines à bord ne fut que l'invention de la Juiverie britannique du Ministère de la Défense ayant pour but d'engager l'Amérique à entrer en guerre contre l'Allemagne. Ce ‘coup de bluff' fut découvert par la Marine britannique et confirmé par des sources officielles d'experts américains. Bien sûr, l'accord de Londres fut connu de l'Allemagne le lendemain de sa signature, en vérité le jour même. Bien évidemment, l'Allemagne redoubla de vigilance aussi bien en mer que sur terre, et s'appliqua à ne pas commettre d'actes violant les lois internationales qui justifieraient une entrée en guerre américaine aux côtés des Alliés. Le commandement militaire allemand prit toutes les mesures afin de ne pas faire intervenir l'Amérique dans le conflit, et elles se révélèrent excellentes.
Durant la crise d'octobre 1916, l'Allemagne, et à juste titre, réalisa que si cette guerre pouvait tenir quelques mois de plus sans l'entrée de l'Amérique ; l'Angleterre serait contrainte de capituler. L'Allemagne fit une fois de plus une offre de paix en octobre 1916. Cette fois-ci l'Angleterre considéra sérieusement l'offre puis soudainement la refusa, comme pour toutes les autres. En référence à la déclaration de guerre américaine contre l'Allemagne, Winston Churchill déclara dans une interview au célèbre Scribner's Commentator de 1936 : « Je ne comprendrai jamais pourquoi Wilson nous mis dans un tel pétrin en 1917. » Lors de cette interview il déclara : « L'Amérique n'aurait jamais dû s'immiscer dans la Première Guerre mondiale. Sans l'intervention américaine, les Alliés étaient tous contraints à accepter les propositions de paix allemandes dès le printemps 1917. A ce moment précis la paix aurait évité l'effondrement de la Russie suivi du communisme ; la chute de l'Italie suivie du fascisme ; et l'humiliant traité de Versailles signé par l'Allemagne, engendrant le nazisme. Si l'Amérique s'était tenue à l'écart de la guerre, tous ces ‘ ismes ' ne seraient pas apparus en Europe, renversant les gouvernements parlementaires d'une part, et cela aurait sauvé la vie de plusieurs millions de Britanniques, Français et Américains. » L'offre de paix allemande n'exigeait aucune indemnité ni réparation. L'Allemagne s'engageait à remettre les statuts territoriaux et l'indépendance politique de tous les pays alliés à la Grande Bretagne en l'état où ils étaient avant la guerre de 1914. L'Allemagne ne demandait aucune réparation.
7 - Les Sionistes font entrer les Alliés américains dans la première guerre mondiale.
L'offre de paix allemande d'octobre 1916 était sur la table du British War Cabinet (Ministère de la Guerre britannique) ; il ne lui manquait plus qu'une dernière signature. L'Angleterre était sur le point de l'accepter, mais l'organisation juive mondiale l'en dissuada. Le British War Cabinet prenait ses instructions des Sionistes de Londres. Au moment même de l'acceptation par l'Angleterre de cette offre de paix allemande, ils reçurent l'offre sioniste de faire intervenir l'Amérique à leurs côtés. Mais sous condition que la Palestine leur soit octroyée en récompense de leur aide à l'effort de guerre contre l'Allemagne. La pression sioniste était sans aucun doute la plus forte, aussi bien à Londres qu'à New York. Même le Président Wilson n'y pouvait pas grand-chose ; il était comme qui dirait, prisonnier d'un passé dont les conditions ne pouvait plus être changées.
Son discours du 2 avril 1917 devait sceller le destin du monde. Sans l'ombre d'une hésitation, la guerre fut déclarée à l'Allemagne par le Congrès pour les beaux yeux de Woodrow Wilson. Conséquemment, les Allemands comprirent la cause de leur défaite. Ils prirent donc l'accord de Londres comme ‘un coup de couteau dans le dos' que leur portait le Sionisme international. Au vu de l'édit d'émancipation de 1822, les Allemands voyaient cet acte comme une double trahison des Juifs d'Allemagne.
8 - Les Sionistes promettent la victoire à l'Allemagne puis la trâhissent.
Le Kaiser lui-même fournissait à la Juiverie internationale des locaux pour y construire leur Etat-major et Berlin fut leur capitale mondiale. L' Empereur en personne, sa famille impériale et le gouvernement étaient constamment à la disposition de Théodore Herzl. En Allemagne, les Juifs réalisèrent des projets dont les autres Juifs d'Europe ne pouvaient même pas rêver. Le Kaiser arrangea personnellement l'audience que donna le Sultan de l'empire Ottoman à Théodore Herzl. Bleichroeder & Company de Berlin était les banquiers de la famille impériale depuis des générations et ils étaient juifs. Ainsi que Warburg& Company la plus grande banque de négoce du monde. En passant par le dirigeant de la Compagnie Générale d'Electricité d'Allemagne, qui était la plus grande entreprise industrielle au monde. La compagnie Hamburg-America et North German Lloyd, alors les deux plus grandes compagnies de bateaux à vapeur après la Cunard Line, étaient tous dirigés par des Juifs. D'innombrables industriels, banquiers, commerçants allemands de la plus grande importance étaient juifs. L'attitude allemande envers les Juifs d'Allemagne et du monde s'empira gravement après le coup de couteau dans le dos de d'octobre 1916. Samuel Landman , le secrétaire londonien de la Juiverie mondiale de 1917 à 1922, dans son livre : « La Grande Bretagne, les Juifs et la Palestine » publié à Londres en 1936, écrit en page 6 : « Le fait que les Juifs firent rentrer les USA dans la guerre aux côtés des Alliés, a eu les pires effets en Allemagne, en particulier dans l'esprit nazi, et a contribué grandement à l'importance que l'antisémitisme occupe dans le programme nazi ». Les sentiments d'importants dirigeants allemands étaient exprimés dans l'article du Jewish Telegraph Agency de Berlin, imprimé le 30 octobre 1934 dans le journal new-yorkais The Jewish Daily Bulletin : «La nouvelle Allemagne persiste dans l'élimination complète des Juifs, qui furent les instigateurs de l'entrée des USA dans le conflit où fut défaite l'Allemagne, et qui ensuite causèrent l'inflation allemande ,» a déclaré hier Herr Richard Kunze , un dirigeant parlementaire nazi, lors d'une Assemblée générale à Megdebourg.
Le 7 août 1933, le Sionisme international a dégradé encore plus la situation en appelant à « la guerre sainte » contre l'Allemagne. Ceci pour faire couler leurs exportations commerciales dont dépendait leur existence. Sous la présidence de Samuel Untermeyer , la Juiverie internationale déclara un boycott mondial sur toute production ou prestation allemande. Ils demandèrent même à leurs « amis chrétiens' » de les joindre dans ce boycott mondial contre les produits et prestations allemands. En juillet 1933, la Conférence internationale du boycott se déroula à Amsterdam, organisée par Samuel Untermeyer . Il fut élu en ce lieu et jour le président de la ‘Fédération économique de la juiverie mondiale'. Depuis 1919, les Sionistes de par le monde avaient vainement essayé de faire taire la rancoeur allemande contre ceux qui avaient poussé l'Amérique à leur déclarer la guerre sans cause ni justification. Les Juifs furent tenus responsables de la défaite allemande et conséquemment de tous les malheurs résultant de cette défaite.
Ce même 7 août 1933, le New York Times publiait ce fameux « appel à la guerre sainte » du Sionisme international à l'encontre de l'Allemagne ; contenu dans un article de trois colonnes qu' Untermeyer adressa à la nation américaine à partir des studios de la Columbia Broadcasting System, la nuit même de son arrivée de l'Europe. Il déclara entre autre : « La guerre sainte…..dans laquelle nous sommes engagés…..est une guerre qui doit être menée sans merci….les Juifs sont les aristocrates du monde….l'embargo économique de tous les produits allemands, transports, prestations….l'embargo est notre seule arme effective….réduire le peuple allemand à la mendicité, en détruisant leur commerce extérieur vital à leur existence même….on doit leur donner une leçon ….. il faut non seulement ne commander aucun produit en Allemagne…on doit refuser toute transaction commerciale à quiconque vendrait des produits allemands…qu'en en finisse avec eux." Ce discours fut fait le 7 août 1933, alors qu'aucun cheveu de la tête d'un Juif n'avait encore été touché dans toute l'Allemagne. Dès lors, l'Allemagne entra dans une nuit inflationniste et fut plongée dans une dépression terrible difficile à décrire en quelques lignes où tout simplement son commerce extérieur s'arrêta comme par magie. C'était le seul moyen de pression du Sionisme international sur les Allemands afin de les empêcher de révéler la vraie cause de leur défaite. En Allemagne, les Juifs eurent du mal à faire oublier cette histoire. Les Allemands eurent la même sensation que Winston Churchill parlant de l'entrée en guerre des USA en 1917.
9 - Le boycott sioniste international contre l'Allemagne engendre des crises internes.
Judea Declares War on Germany
Le 26 février 1940, le journal canadien Toronto Evening Telegram , publia un discours fait par le Rabbin Maurice L.Perlman , chef de la section anglaise du Congrès juif international, déclarant : « Le Congres juif international est en guerre contre l'Allemagne depuis sept ans .» Le 28 décembre 1951, le National Jewish Post d'Indianapolis publie une déclaration faite le 25 décembre 1951 par le Sénateur Wayne Morse de l'Oregon où il dit : « Une des principales raisons de notre entrée en guerre contre Hitler fut la persécution des Juifs en Allemagne. » L'édition de l'hiver 1951 du journal new-yorkais Issues, organe officiel du Conseil américain pour le Judaïsme, publiait un document important, sous le titre « La politique américaine du Proche-Orient, » écrit par le Dr Donald C.Blaisdell , Professeur de gouvernement à l'Université de New York, où il déclarait : « Aucune minorité, qu'elle soit d'origine irlandaise, allemande, italienne, polonaise ou grecque, n'a été en mesure de manipuler la politique à son avantage, comme le font les dirigeants sionistes américains. Autant les Juifs américains sont présumés membres de la clientèle américaine d'Israël et ne leur est-il jamais permis de l'oublier, ainsi en est-il du gouvernement, du Congres et de l'Exécutif, à qui il n'est pas autorisé de se libérer des pressions, propagande et tout autre pouvoir émanant de la même source sioniste. »
L'auteur a été en position d'observer, et ceci depuis 1912, ce qui se tramait derrière la scène officielle. L'auteur a servi durant la campagne présidentielle de 1912 du National Democratic Comittee qui vit la première élection de Woodrow Wilson à la Présidence. Dès lors, aucune porte ne lui fut fermée. L'auteur a été introduit dans ce milieu en 1890, sous l'aile protectrice du Docteur Simon Baruch, père de Bernard Baruch ; ce dernier étant un très bon ami de la famille de l'auteur, et n'hésitant jamais à consulter l'auteur au sujet de cette situation.
10 - Franklin Roosevelt manipulé par les Sionistes.
Le président Franklin D. Roosevelt était le captif des Sionistes le jour même où il partit pour la ville d'Albany en tant que Gouverneur de l'Etat de New York. Roosevelt était depuis belle lurette redevable aux Sionistes. Le récit étayant les faits marquants utilisées par Roosevelt pour atteler les USA à la situation catastrophique dans laquelle elle se trouve aujourd'hui embourbée au Moyen Orient n'est pas un longue histoire en soi. C'est l'histoire qui permit à Roosevelt d'embarquer les USA dans la deuxième guerre mondiale. L'Allemagne et la Pologne avaient accepté la formule laissant l'accès libre tout au long du couloir polonais jusqu'à la ville de Gdansk (Danzig corridor.)
En 1919, le président Wilson établit ce couloir polonais qui divisa l'Allemagne en deux parties. Le but recherché par les Sionistes de l'accord de Versailles était évidemment d'affaiblir l'Allemagne en la divisant. Ainsi, Wilson et ses acolytes octroyèrent la bande séparant l'Allemagne, en l'occurrence ce couloir, à la Pologne. Traverser ce couloir de l'Allemagne de l'Ouest vers l'Allemagne de l'Est, ou vice versa, était comme voyager d'un pays vers un autre. Les inconvénients, problèmes et retards causés à l'Allemagne et à la Pologne avaient finalement atteint leur paroxysme pour enfin trouver une situation d'arrangement éliminant une majorité d'objections allemandes à ce couloir. L'Allemagne et la Pologne s'entendaient sur une base qui servirait à prévenir une quelconque velléité allemande. Adolf Hitler était alors le Chancelier allemand. Les Sionistes internationaux s'opposèrent à cet accord à l'amiable entre l'Allemagne et la Pologne concernant le couloir polonais. L'accès illimité et la circulation entre les deux parties de l'Allemagne la rendaient une fois de plus, le pays le plus puissant du monde. Le Sionisme international craignit donc le pire. Malgré les obstacles mis sur le chemin menant à une solution pacifique de la crise du couloir polonais ; l'Allemagne et la Pologne acceptèrent finalement une formule de compromis. Les préparations s'amorçaient pour le parachèvement de cet accord en un traité. Les deux pays étaient satisfaits et la formule servait les deux gouvernements.
Le 25 août 1939, peu de temps avant la signature de cet accord, la Pologne signa secrètement un accord avec l'Angleterre. Dans cet accord, l'Angleterre s'engageait à fournir une assistance militaire « avec tout ce qui était en son pouvoir » à la Pologne, en cas d'attaque allemande. Avec une telle garantie de la part de l'Angleterre, la Pologne abandonna les négociations avec l'Allemagne. Cette dernière ne pouvait pas comprendre les raisons de la volte face polonaise et décida donc d'appliquer à la lettre les clauses de l'accord établis avec la Pologne. Ce fut le début de la Deuxième Guerre mondiale. La Grande Bretagne trompa intentionnellement la Pologne, à qui elle avait promis une assistance militaire. Depuis le début, la Grande Bretagne savait qu'elle ne pouvait pas respecter les promesses données à la Pologne. Ce piège avait été tendu par la Grande Bretagne à la Pologne, afin de faire saborder les accords germano-polonais. Le refus inexpliqué des Polonais à poursuivre des négociations visant à l'accord du couloir polonais résulta en une intervention militaire allemande à l'intérieur de ce couloir. La Grande Bretagne savait précisément ce qu'il allait se passer : en l'occurrence, le commencement de la Deuxième Guerre mondiale. Le reste relève de l'Histoire. Le Sionisme international accueillit à bras ouverts le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale, espérant renverser le régime national-socialiste; exactement comme ils avaient fait pendant la Première Guerre mondiale en faisant intervenir les USA aux côtés de la Grande Bretagne.
Depuis 1939, Roosevelt faisait des pieds et des mains pour faire intervenir les USA dans ce conflit, uniquement pour satisfaire les Sionistes. Les Allemands avaient appris leur leçon de la Première Guerre mondiale et savaient qu'une éventuelle entrée américaine dans la Deuxième Guerre Mondiale serait des plus désastreuses pour eux. L'Allemagne s'appliqua à merveille à ne pas déclencher ni violer aucune loi internationale justifiant une entrée des USA aux côtés des Alliés. Cette situation était des plus défavorables pour Roosevelt ; qui décida que s'il était impossible de s'immiscer dans ce conflit directement, pourquoi ne pas faire entrer les USA par la porte arrière. En d'autres termes, en utilisant le Japon. Finalement ce fut chose faite et le Japon ouvrit la porte de la Deuxième Guerre mondiale pour l'Amérique.
11 - Des révélations choquantes du ministre de la défense Stimson concernant la deuxième guerre mondiale.
L'Allemagne était liée au Japon par un accord mutuel de défense, où toute attaque contre l'un
entraînerait automatiquement une riposte de l'autre qui devrait lui venir en aide. Roosevelt avait l'intention de provoquer le Japon ; afin que cette dernière attaque l'Amérique.
En décembre 1941, le Japon bombardait Pearl Harbor ; les USA déclaraient donc la guerre au Japon et automatiquement était en guerre contre l'Allemagne. Les notes personnelles du Ministre américain de la Défense, Henry L.Stimson et d'autres documents lui appartenant ; se trouvent à la Bibliothèque de l'Université de Yale. Mr Stimson tenait un journal de bord, où tout événement important ou autre, était quotidiennement inscrit de sa propre main. Mr Stimson était Ministre de la Défense dans l'Administration Roosevelt. Son journal de bord fut introduit comme pièce à conviction par le Sénat, lors de l'enquête sur l'attaque de Pearl Harbor , au grand dam des amis de Roosevelt. Le 25 novembre 1941, donc deux semaines avant l'attaque de Pearl Harbor , Mr Stimson nota que lors d'une réunion matinale à la Maison Blanche présidée par Roosevelt, celui-ci déclara qu'il souhaitait être en guerre contre le Japon, mais qu'il ne voulait pas que cela donne l'impression que les USA « aient tiré le premier coup de feu. »'
12 - Les conspirateurs sionistes provoquent l'attaque de Pearl Harbor.
Roosevelt provoqua intentionnellement l'attaque japonaise de Pearl Harbor . Car c'est lui qui interdit personnellement les USA d'approvisionner le Japon en pétrole ainsi qu'en acier. Le Japon était en plein milieu de la guerre contre la Chine. Le Japon était totalement dépendant de ces deux produits américains pour continuer la guerre.
En 1952, le professeur Charles Callan Tansill , de la Chaire d'histoire diplomatique à l'Université de Georgetown, écrivit une étude classique intitulée « Back Door To War », qui fut publié par Henry Regnery . Le professeur Tansill consacra cinq ans après la fin de la guerre à étudier les documents confidentiels du Département d'Etat américain relatifs à la Deuxième Guerre mondiale. Ce livre de 652 pages relate d'alarmants faits authentifiés et peu connus du grand public au sujet de cette guerre. Avec un travail d'érudit dont le style est merveilleusement clair, le professeur Tansill a révélé des faits irréfutables, exposant la responsabilité de Roosevelt dans l'engagement américain dans la Deuxième Guerre mondiale. Le désir de Roosevelt de satisfaire ses amis sionistes influença son jugement. Il négligea qu'en tant que Président du peuple américain il leur devait des comptes. Roosevelt réalisa que pour espérer un support politique sioniste garantissant un succès certain en Amérique, il devait imaginer le moyen d'envoyer l'Armée américaine combattre aux côtés des Alliés. De là, le doute est levé sur la responsabilité de Roosevelt d'avoir impliqué les USA dans la situation catastrophique qu'elle vit aujourd'hui au Moyen Orient.
Le président Harry.S.Truman apporta une contribution démesurée à la situation désespérée dans laquelle se trouve les USA aujourd'hui au Moyen Orient ; quand il reconnut officiellement comme ‘nation souveraine' une occupation armée en Palestine où 800 000 combattants clandestins transplantés en Palestine par un complot organisé par le Sionisme international.
En 1946, Truman souffrit d'une obsession pathologique le poussant à croire qu'il devait absolument être élu président des USA en 1948. Mr Clarke Clifford , Ministre de la Défense sous Lyndon B.Johnson , mérite une grande part de responsabilité dans la reconnaissance par les USA de l'état d'Israël. En juin 1958, l'édition de la Chronique juive de Londres, célébrant ses dix ans et celui d'Israël ; publia dans un article de trois pages l'histoire écrite en 1948 par Eliahu Epstein le représentant américain de l'Agence juive de Washington. Selon cet article, Clifford était apparemment anxieux « d'aider' », d'autant plus que le président Truman fit à son proche entourage la confidence exprimant son souhait de reconnaître l'état d'Israël dès « la première heure' » de sa naissance ; ce qu'il fit d'ailleurs. Le président Truman reconnut la naissance d'Israël, exactement onze minutes après minuit. Par la suite, Truman avisa l'auteur qu'il ne voulait plus aborder avec lui la question sioniste dans une quelconque discussion. Toutefois il écrivit une lettre à l'auteur, l'informant qu'il avait complètement confié la question palestinienne au juge David Niles . Les Sionistes avaient l'intention d'effectuer leur part du marché après que Truman eut reconnu l'état d'Israël. Malgré la probabilité de vingt pour un, contre son élection en 1948, Truman l'emporta largement sur son adversaire directe, le Gouverneur Dewey, qui, lui, n'était pas soutenu par l'invisible et invincible bulldozer sioniste toujours vainqueur. Truman non seulement usa du pouvoir et prestige des USA ; la contraignant à voir en Israël un havre de paix et non un régime policier de déplacés clandestins oppressant les Palestiniens ; mais aussi abusa des contribuables américains à hauteur de milliards de dollars de taxes directement injectés à l'état sioniste, la rendant plus puissante. L'admission d'Israël aux Nations Unies risquait de ne pas avoir lieu par manque de voix, deux précisément. Le plan était sur le point de tomber à l'eau. En urgence le Cardinal Spellman fut chargé par Charles H. Silver d'effectuer deux voyages en Amérique latine en vue de faire modifier les votes empêchant l'admission d'Israël aux Nations Unies.
Le 11 juin 1964, les journaux du monde entier reprenaient la confession de Mr Silver , qu'il avait tue pendant 15ans. Le secret partagé par Silver et le Cardinal Spellman était simplement, le motif pour lequel le cardinal fut envoyé par Spellman , pour le compte des Sionistes : c'était afin d'aller « forcer » les deux pays récalcitrants d'Amérique latine à modifier leur vote. Tout ceci ayant pour but de faire admettre Israël dans le cercle onusien. L'auteur était un proche et intime du cardinal Spellman durant vingt-cinq ans. Le cardinal Spellman confessa à l'auteur il y a quelques années, qu'il se sentait coupable d'un tort irréparable pour avoir comploté avec le Sionisme américain dans le but de faire introduire Israël à l'ONU. C'est à l'apogée de la guerre arabo-israélienne de juin 1967, que le Cardinal Spellman , alors seul avec l'auteur, lui révéla qu'il se tenait personnellement et directement responsable de toutes les pertes de vies survenues lors de cet invasion israélienne sur les territoires arabes de Cisjordanie (Transjordanie et Jérusalem-Est,) d Egypte (Gaza et Sinaï) et de Syrie (Golan.)
13 - H.J.117 - Eisenhower marche au pas de la comédie sioniste.
L'histoire de comment le Président Dwight D. Eisenhower engagea les USA dans la situation désespérée dans laquelle elle se trouve aujourd'hui embourbée au Moyen Orient, n'est pas compliquée en soi. Les Sionistes américains pressèrent le président Eisenhower de se porter garant d'une résolution commune du Congrès, la H.R Res 117 établie le 5 janvier 1950, et qui fut passée par le Congrès au Ministère de la Défense. Le Président Eisenhower ne savait que faire face à cette situation. L'auteur eut pitié à constater avec stupeur comment ce grand général se faisait mener à la baguette par des Sionistes même pas dignes de lui cirer les bottes. Le Président Eisenhower était toujours aimable envers l'auteur. Ils s'étaient rencontrés lors d'un entretien que le Président, alors potentiel candidat démocratique à la Présidence, eut avec Mr Thomas M. Watson Senior, fondateur de la compagnie IBM. Ce dernier confia à l'auteur qu'il croyait que le Général Eisenhower en tant que civil ferait un grand Président. En tant que Président le Général Eisenhower vouait une entière fidélité aux Sionistes, car l'ayant soutenu et s'étant liés d'amitié avec lui après la guerre quand il commença une activité politique en Allemagne, les Sionistes cultivèrent ses faveurs après la Deuxième Guerre mondiale. D'ores et déjà ils savaient qu'Eisenhower serait entre leurs mains ce qu'est la pâte d'argile entre les mains du potier.
Dès 1956, les pays du Moyen Orient subissaient des changements au sein de leur gouvernement. L'occupation illégale de la Palestine par les Sionistes perdurait. Le Moyen Orient connaissait une démographie galopante. Les Sionistes décidèrent donc de stopper cette progression de la population. Une fois de plus les Sionistes demandèrent les faveurs du président. Le Liban était le coeur du monde politique arabe. Il fallait donc tuer le mal dans l'oeuf d'une société qui présentait les velléités susceptibles de défier la domination sioniste. Les Sionistes montèrent Eisenhower contre le Liban, qui fut occupé par une armée de 14 000 hommes d'une part, et vit d'autre part, la Sixième Flotte stationnée à son rivage. Pour rendre cette occupation légale, les Sionistes eurent la bénédiction du Congrès qui passa une résolution commune identique à la résolution de la Baie du Tonkin, permettant à la guerre du VietNam de se jouer.
14 - Eisenhower exauce les voeux sionistes au Moyen Orient.
En engageant une armée de 14 000 Marines aidés de la Sixième Flotte à occuper le Liban, Eisenhower lançait un sérieux avertissement aux nations arabes qui auraient envie de libérer la Palestine du joug sioniste. Eisenhower avait probablement réuni les plus fins Sionistes du Secrétariat d'Etat, ainsi que de la Défense en passant par la Justice, afin de formuler cette résolution commune, utilisant un langage flou, intentionnellement vague afin de garder caché son but. Cette résolution ne définissait pas son motif. Le but réel était d'avoir une résolution commune, littéralement permettant à Eisenhower l'utilisation de l'Armée américaine sans avoir à recouvrir à une déclaration de guerre votée par le Congrès. Tout cela ayant pour but de soutenir et d'encourager les criminels à conserver leur butin en Israël.
Chaque mot prononcé par le Président Eisenhower défendant les escrocs occupant la Palestine était un pur mensonge aggravant d'autant la situation catastrophique que connaissent les USA aujourd'hui dans le bourbier du Moyen Orient. Les Sionistes américains ont été capables de camoufler leur illégale agression au Moyen Orient derrière la personnalité soldatesque du président Eisenhower.
L'histoire détaillant la responsabilité du président Kennedy à engager les USA dans la tragédie qu'elle vit aujourd'hui au Moyen Orient, est des plus douloureuses. Le 25 août 1960, Kennedy s'était dévié de la noble et droite trajectoire qu'il avait suivie toute sa vie pour s'orienter vers un chemin des plus incertains. Kennedy ne pouvait plus se dérober des conséquences de sa trahison envers les principes et valeurs sur lesquels il avait bâti sa vie, car étant tout simplement tombé dans le piège tendu par les Sionistes qu'il l'avaient porté à la Présidence.
Le 23 août 1960, dans le Bureau du Sénat à Washington, Kennedy, encore jeune sénateur, donna à l'auteur une copie du discours qu'il devait prononcer à New York le 25 août suivant. Dans cette copie, et parmi d'autre points il déclarait : « Israël ….ce que j'ai dit publiquement trois semaines auparavant, Israël restera….je prédis la continuation d'Israël….qui perdurera et fleurira…les faveurs spéciales du Parti démocrate….c'était le président Truman qui reconnut l'état d'Israël et qui lui donna un statut particulier dans les affaires mondiales…pourrais -je….mon espoir et mon serment à pouvoir continuer cette tradition démocratique….si la structure démocratique a eu en quoi que ce soit un but…la Maison Blanche doit prendre l'initiative ….l'intervention américaine ….maintenant….maintenant ne sera plus facile…je propose de la rendre claire comme du cristal …nous agirons fermement ….nous nous tiendrons garant d'agir utilisant toute force et détermination nécessaire ….même au risque d'une guerre ». Kennedy en tant que sénateur donna sa parole aux Sionistes qu'en tant que Président des USA, il enverrait fils, maris et frères combattre en Palestine sous le drapeau américain afin d'aider les rapaces sionistes à mieux agripper leur proie et à mieux protéger leurs razzias.
En novembre 1946, l'auteur rencontra pour la première fois le Président Kennedy, alors que celui-ci fraîchement élu congressiste rendit visite au bureau new-yorkais de son père au 230 Park Avenue. L'auteur était alors en pleine conférence avec messieurs l'ambassadeur Joseph Kennedy et son associé le juge Landis . Dans ce bureau privé, ces messieurs consultaient l'auteur au sujet de la situation au Moyen Orient qui commençait déjà à se corser aux Nations Unies. Soudainement les portes du bureau privé s'ouvrirent et le nouveau Membre du Congres entra. Le Membre du Congres Kennedy venait de Boston, à destination de Washington, quand il déferla avec enthousiasme dans le bureau de son père. L'ambassadeur Kennedy présenta au jeune Congressiste tout d'abord l'auteur, puis lui conseilla fortement de le prendre comme une source intarissable d'informations pour tout ce qui a trait à la question palestinienne.
15 - Kennedy fait le serment aux Sionistes qu'il les soutiendra même au risque d'une guerre.
Toujours durant ce même entretien, l'Ambassadeur Kennedy discuta à ce sujet un court moment en présence de ces personnes ; puis le Congressiste Kennedy demanda la permission de disposer afin de reprendre sa correspondance pour Washington. L'auteur invita le jeune Kennedy à dîner et il accepta. Après ce dîner, le jeune Kennedy proposa à l'auteur de l'accompagner dans le train pour Washington. Ils s'en allèrent tous deux pour Washington.
Depuis ce jour de novembre 1946, jusqu'au 23 août 1960, l'auteur rencontra régulièrement et en d'innombrables occasions le Congressiste Kennedy dans le bureau new-yorkais de son père ainsi qu'à Washington. L'auteur fut ravi d'éclairer le Sénateur Kennedy sur la question palestinienne. Sans risquer d'exagérer et sans aucun doute ; il y eut à ce moment et même dans le monde, peu de gens mieux informés à ce sujet que ne le fut le Sénateur John Fitzgerald Kennedy. Durant 14 années l'auteur eut à partager et apprécier l'intimité du Président Kennedy qui lui a toujours exprimé toute son admiration pour les priorités qu'ils s'étaient fixées . Le Président Kennedy appréciait d'autant plus l'amitié entre son père l'ambassadeur et l'auteur. Kennedy Senior avait été victime du chantage de Roosevelt le dissuadant de l'écriture d'un livre. Roosevelt avait révoqué Kennedy Senior, alors ambassadeur américain à la Cour de Saint James à Londres, pour avoir fait circuler des entretiens tenus en 1938 avec Neville Chamberlain.
16 - L'ambassadeur Kennedy écarté politiquement pour avoir révélé les conspirations sionistes.
En 1938, l'Ambassadeur Kennedy rapporta à Washington les révélations lui ayant été faites par Neville Chamberlain ; portant sur la responsabilité partagée entre l'Angleterre et le Sionisme international relatif à l'engagement américain dans la Deuxième Guerre mondiale. Chamberlain annonça aussi à l'ambassadeur que la Grande Bretagne était totalement démunie et risquait énormément dans la perspective d'engager une guerre contre l'Allemagne. Chamberlain se plaignit entre autre que l'ambassadeur américain à Paris en l'occurrence William C. Bullit poussait Roosevelt à sanctionner l'Allemagne au sujet de son attitude face à la Pologne dans la question du Couloir polonais (Danzig corridor). De ce fait, Roosevelt rappela l'ambassadeur Kennedy, l'obligeant à garder le silence. L'ambassadeur avait donc l'intention de retourner aux USA afin de révéler dans un livre les vérités que l'opinion publique américaine devrait connaître. Dès son retour aux USA, Roosevelt le convoqua à Washington, le sommant d'annuler l'écriture du livre en question. Après un entretien houleux et désagréable d'une part, et son rappel forcé de Londres pour avoir osé révéler les propos de Chamberlain au sujet des Sionistes d'autre part ; l'Ambassadeur Kennedy ne rêvait plus que de voir un de ses fils à la Présidence américaine.
Le récit étayant la culpabilité du Président Lyndon B. Johnson pour avoir lié les USA à la situation désespérée dans laquelle ils se trouvent aujourd'hui au Moyen Orient, n'est pas une longue histoire. Au fait, elle commence à New York par un appel téléphonique reçu par l'auteur, du Congressiste Ed Gosset de Washington, le priant de le rejoindre au plus vite. Ed Gosset représentait Amarillo Texas à la Chambre des Représentants. Il était alarmé depuis la veille par la confirmation d'Anna Rosenberg par le Comité interarmes du Sénat à la haute fonction de Vice Ministre de la Défense, ceci sans aucun examen de jury. Etrangement, le seul témoin apportant une déposition en qualité de jury examinant la nominée, fut Anna Rosenberg la nominée elle-même. Cela en soi avait suscité des doutes partagés par les dirigeants du pays. Le Congressiste Gosset alla avec l'auteur rencontrer le Sénateur Johnson à son bureau, lui expliquant la raison de leur visite. Sénateur Johnson était alors membre du Comité interarmes qui avait confirmé la veille même, la désignation d'Anna Rosenberg. Le Sénateur Johnson était très intéressé de connaître les liens unissant Anna Rosenberg et les Communistes. Le sénateur demanda l'aide de l'auteur dans la recherche détaillée qui ramènerait à présenter un Communiste de l'entourage d'Anna Rosenberg. Le jour même de son retour à New York, l'auteur s'entretint avec son avocat Maître Hallam Richardson au sujet de la requête du Sénateur. Après quelques heures, Maître Richardson produisit le nom de Mr Ralph de Sola , Communiste renommé dirigeant une organisation communiste de documents photographiques en Amérique. Après l'annulation de la confirmation d'Anna Rosenberg par le Comité interarmes, une seconde audience fut tenue pour la même nomination. Anna Rosenberg attesta qu'elle était née en Hongrie et qu'elle immigra en Amérique en 1912 à l'age de 11 ans. Cette seconde audience révéla des faits intéressants d'ailleurs ; en l'occurrence son étrange nomination prolongée durant quatre ans. Lors des rencontres entre le Sénateur Johnson et l'auteur, la question palestinienne fut souvent soulevée. Le Sénateur y était très intéressé comme le fut d'ailleurs le Comité interarmes du Sénat. L'occupation de la Palestine par les Sionistes intéressait ce comité.
17 – Lyndon Johnson orchestra la guerre des six jours.
Lyndon B. Johnson était Vice Président avant d'être élevé à la fonction présidentielle après la mort du Président Kennedy. En tant que président Johnson était au courant de la menace d'un conflit au Moyen Orient qui verrait la participation des USA. Il connaissait parfaitement le système de contrôle exercé par les Sionistes en Amérique et au sein de l'ONU. Un de ses proches amis à Washington était Mr Abe Fortas , Sioniste invétéré que lui-même désigna à la Cour suprême. Le Président Johnson savait inéluctablement qu'il en était en violation de son serment officiel de Président des USA quand il fit passer des munitions de guerre dans des pipelines afin d'armer Israël, tout ceci avec l'argent des contribuables américains. En aucun cas il ne pourrait nier ces faits. Par le biais d'un ami commun, l'auteur tint le Président au courant sur les réels aboutissements du conflit arabo-israëlien . Le Président Johnson sera le premier à reconnaître sa mauvaise foi au sujet du fait qu'il avait induit en erreur la nation américaine concernant les vérités du conflit arabo-israëlien au seul profit des Sionistes. Il essaya même de justifier sa prodigalité à dilapider l'argent des contribuables pour respecter un prétendu engagement. Le seul engagement méritant d'être honoré est celui fait au peuple américain et à leurs intérêts. Selon les documents du Pentagone, il a failli à cette mission. Le Président Johnson ne fait absolument pas preuve de jugement et de maturité en dilapidant les deniers de l'état ; jouant avec un argent chichement gagné par les contribuables, tout cela dans l'unique intérêt d'aider et d'encourager les escrocs sionistes à mieux détrousser leurs innocentes victimes. Imaginons sa réaction si, par exemple, la Russie avait financé l'invasion du Texas par les Mexicains ; expulsant les Texans de leurs maisons, Texans qui, n'ayant eu le temps d'emporter dans leur fuite que leur veste sur le dos, survivraient entre le désert d'Arizona et celui du Nouveau Mexique, vivant dans des camps de réfugiés où des rations de nourriture de cinquante cents (un demi-dollar ) par jour leurs seraient fournies. Les Mexicains ont plus de droit et de légitimité sur le territoire du Texas aujourd'hui que les Sionistes d'Europe de l'Est en ont sur la Palestine. Que serait sa réaction si la Russie financerait avec 32 milliards de dollars, l'occupation par ces envahisseurs mexicains, leur fournissant logistique et armement sophistiqué afin de tenir en respect les autres quarante neuf Etats américains si l'idée leur prenait d'intervenir pour stopper cette invasion du Texas ? Occupation se faisant sans même avoir versé le moindre sou de dédommagement pour le moindre mètre carré confisqué aux propriétaires légitimes de cette terre.
L'histoire détaillant comment le Président Nixon entraîna les USA dans le chaos où elle se trouve aujourd'hui dans le Moyen Orient, serait très intéressante à connaître pour le peuple américain. D'autant plus que cela est un acte récurrent à chaque fois que le Président Nixon octroie aux occupants sionistes quelques $500 millions du contribuable américain. Nixon servirait t'il deux maîtres à la fois ? Nixon, comme les six autres maîtres de la tromperie, se rend coupable d'avoir entraîné les USA dans un chemin sans issue où elle patauge aujourd'hui au Moyen Orient.
A la fois président mais aussi avocat réputé, Nixon ne pourrait en aucune mesure produire la moindre évidence d'un légitime ''engagement'' justifiant sa prodigalité à user et à abuser des millions de dollars des contribuables américains, pour financer des brigands dans la possession permanente de leur razzia . Serait ce un ‘‘engagement'' fait par des politiciens à des Sionistes contrôlant les mass média ? Président Nixon se dévalorise lui-même, ainsi qu'il le fait à l'administration américaine, pour qui il parle ; quand il se réfère à un engagement américain parachevant l'occupation perpétuelle de la Palestine par la mafia sioniste. La générosité du Président a atteint des proportions épidémiques. Chaque versement de 500 millions de dollars des contribuables américains renflouant les caisses du soi disant '' état israélien'' n'est qu'un clou de plus scellant le cercueil américain. Ces sept maîtres de la tromperie déshonorent les principes les plus élémentaires et les plus équitables sur lesquels l'Amérique est bâtie ; sacrifiant dans les caisses de l'Etat un argent chichement gagné par les contribuables, pour l'offrir aux criminels sionistes. N'ont-ils aucune conscience ni aucune dignité ? Avons-nous vu une quelconque reconnaissance américaine lorsque éclatèrent les guerres civiles au Congo, au Nigeria, ou au Pakistan, ou dans d'autres pays ayant décidé de s'autoproclamer en vue de former un état indépendant issue d'une scission ? Alors pourquoi avoir reconnu ces envahisseurs clandestins, ces transfuges, ces déplacés, protégés et financés par les Sionistes ? Si ces sept maîtres de la tromperie reflétaient réellement l'attitude honorable des USA, ils ne trafiqueraient jamais avec de tels criminels, de tels meurtriers, comme ils le font avec les escrocs israéliens, constitués de déplacés clandestins formant un prétendu état au dépens des Palestiniens.
18 - La main cachée sioniste contrôle le vote américain à l'ONU.
L'unanimité des membres de l'ONU, c'est-à-dire cent vingt-cinq membres, savaient que les USA étaient aussi tordus qu'un tire bouchon quand il fallait reconnaître le soi disant Etat d'Israël comme étant un état légitime représentatif d'une population indigène. Toutes les nations du monde comprendront à présent que seuls les Sionistes élisent le président des USA, ainsi que les membres du Congres. Si ces Sionistes n'avaient pas un si grand contrôle monétaire ils ne seraient même pas en mesure d'élire un comité de quartier. C'est dire quel niveau de corruption et de décadence a atteint la politique américaine avant qu'elle ne s'écroule face à une nation plus honorable, comme tombe de l'arbre le fruit trop pourri.
19 - L'accomplissement de la conspiration des Rothschild.
Ce pseudo-état israélien étant tellement légal et ô combien légitime qu'il engendre l'ironie et la dérision chaque fois que les USA doivent -à la demande d'Israël, cela va de soi- impérativement user de son veto contre toute résolution votée par le Conseil de Sécurité dans le but d'expulser ce soi-disant Etat d'Israël. Indéniablement, ce soi-disant Etat se sent aussi à l'aise qu'un porc dans son purin quelles que soient les sanctions votées contre lui. Seul un ignare douterait du fait évident que les Sionistes contrôlent la délégation américaine. Le vote de la délégation américaine au Conseil de Sécurité n'est qu'une tragi-comédie jouée selon les instructions des Sionistes. Si jamais une résolution serait votée dans le but d'expulser le soi-disant état d'Israël ; automatiquement les USA voteraient pour le contrecarrer et donc l'annuleraient. Le peuple américain doit connaître la vérité au sujet du conflit entre Arabes et Israéliens. Sinon ils le feront au prix de leur vie, et aux dépens de leur existence. Les USA portèrent jadis le Communisme responsable de tous les maux de la Terre, ce fut là un bon bouc émissaire pour les politiciens.
L'origine de tous ces malheurs, la cause de tous les drames que vit le monde actuellement, sont les Rothschild. Pour le moment l'auteur se limite à exposer le lien des Rothschild avec ce sujet, en l'occurrence la situation catastrophique du Moyen Orient. L'auteur peut parler en toute connaissance de cause sur ce sujet auquel il a été mis au courant directement par des membres mêmes de la dynastie des Rothschild de Londres et de New York entre autres. La richesse des Rothschild ne peut être ni quantifiée ni estimée avec précision du fait de son extraordinaire immensité. Toutefois la moindre évaluation serait de l'ordre de plusieurs trillions de dollars, si jamais une telle valeur pourrait être imaginable. La majeure partie de leurs richesses se trouve dans l'Extrême Orient d'une part, quoique la richesse de leurs intérêts, qu'ils soient en Europe ou dans l'hémisphère Ouest, est gigantesque. Malgré cela, ces richesses sont inférieures à leurs richesses provenant de l'Extrême Orient. De ce fait une de leur priorités majeures est l'accès à l'Extrême Orient et donc à travers la Méditerranée, ce qui le rend des plus vitaux pour la Grande Bretagne. La dynastie des Rothschild a plongé la Grande Bretagne dans de nombreux conflits et guerres coloniales dans l'unique but de préserver cet accès crucial à l'Extrême Orient. L'histoire raconte ces faits. Le canal de Suez n'a pas été construit par les Rothschild qui d'ailleurs ont tout essayé pour empêcher sa réalisation. Il fut construit par la dynastie égyptienne des Khédive qui engagèrent un ingénieur français, De Lesseps. Au début les Rothschild refusaient d'investir le moindre sou dans la compagnie qui obtint le projet de réalisation. Le canal de Suez fut achevé en 1869 et dès le premier jour ce fut un grand succès. Les Rothschild purent extorquer frauduleusement quarante pourcent des parts d'intérêts, ce qui à leur goût semblait être insuffisant comparé à la valeur rapportée après seulement deux ans de service. Ils décidèrent donc qu'il fallait le contrôler totalement afin d'assurer leur accès en Extrême Orient. Sans aucune cause ni provocation et encore moins une explication, les Rothschild lancèrent l'Armée britannique pour occuper l'Egypte, exactement comme une nation défaite serait occupée par son vainqueur. Les Britanniques dirigèrent dès lors, tout l'enseignement, les banques, le transport, le système monétaire. L'Egypte cessa tout simplement d'exister, à part en nom. Le canal tomba sous contrôle total des Britanniques. Au début, l'Angleterre opta pour une concession lui permettant de le garder pour quatre-vingt-dix ans. Mais plus le temps s'écoulait, plus le canal s'avérait être important, plus les Rothschild en dépendaient et s'effrayaient de le perdre. Ils n'eurent qu'une solution à la fin des quatre-vingt-dix ans de concession qui devaient expirer en 1969 : le retourner à l'Egypte comme stipulé par les textes de loi. La Grande Bretagne dépensa d'immenses fortunes et fit couler beaucoup de sang lors de nombreuses guerres, juste pour conserver et profiter de ce canal. Les Rothschild savaient qu'un jour ou l'autre, l'Egypte serait libre de garantir une autre concession à une puissance rivale de l'Angleterre, comme la France, l'Allemagne ou bien la Russie. Les Rothschild craignirent donc l'utilisation du canal par une nation n'ayant pas que des bonnes intentions vis-à-vis de la Grande Bretagne, ou bien même l'utilisation à des fins politiques.
20 - La fortune mondiale des Rothschild risquerait la faillite sans le contrôle des Sionistes au Moyen Orient.
Toute la fortune de la dynastie des Rothschild ainsi que la suprématie britannique, se voyaient diminuer en Extrême Orient en cas d'interruption du contrôle britannique sur le canal. Anticipant les évènements, les Rothschild planifièrent leur fortune sans le Canal. En 1918, à la fin de la première guerre mondiale, les Rothschild avaient déjà entamé leur plan - qui est très simple d'ailleurs. Avec l'accord de Londres de 1916, la Grande Bretagne prévoyait de céder la Palestine aux Sionistes juste après la guerre. Les Sionistes d'Europe de l'Est étaient sans le sou, rendant l'occupation de la Palestine un véritable cauchemar pour eux. Ainsi les Rothschild à Londres promirent aux Sionistes une aide financière illimitée leur permettant de développer la Palestine, mais sous condition que dès que l'octroi de la Palestine aux Sionistes serait effectué, ces derniers devraient postuler pour rejoindre l'Empire britannique en tant que membre. Les Rothschild planifièrent la construction d'un autre canal en Palestine ; d'Ashkelon sur la Méditerranée jusqu'à Aqaba sur le golfe d'Aqaba. Ce canal serait une construction moderne formée de structure d'acier et de béton, comportant deux lignes de navigation. Il serait de ce fait en territoire britannique à perpétuité, jouissant des avantages d'être défendu par la Grande Bretagne et d'être reconnu comme un membre de l'Empire britannique (Commonwealth.) La Grande Bretagne occupa la Palestine de 1921 à 1948 sous mandat de la Ligue des Nations. Durant cette même période, il y eut la décomposition de l'Empire britannique. Entre temps, les Sionistes avaient établi un Etat sioniste en Palestine et l'Empire britannique avait cessé d'exister. La Palestine et les Sionistes ne pouvaient donc plus postuler pour rejoindre l'Empire britannique, celui-ci n'existait plus. Les Rothschild durent donc changer de stratégie. Désormais, ils étaient détermines à obliger la Grande Bretagne à octroyer la Palestine aux Sionistes pour en faire un état souverain. L'idée des ‘Nations Unies' était alors une réalité et les Rothschild s'appliquèrent à faire admettre l'Etat souverain sioniste à l'intérieur des Nations Unies. L'ONU donc, aurait dû procurer à la Palestine les mêmes avantages qui eussent étés procurés jadis par la Grande Bretagne. Si l'Etat souverain sioniste pouvait être admis aux Nations Unies, l'avenir de la Palestine serait assuré. Les Rothschild ne savaient pas quoi faire.
En octobre 1916, entra en scène la fameuse Organisation sioniste internationale ; au même moment où la Grande Bretagne envisageait la capitulation face à l'Allemagne. L' Organisation sioniste internationale et le British War Cabinet conclurent l'accord de Londres de 1916. Le 6 Avril 1917, les USA entrèrent donc en guerre contre l'Allemagne, faisant la joie et l'émerveillement de la dynastie des Rothschild. Autour de juillet 1917, la défaite allemande se précisait suite à l'entrée en guerre américaine. Les Rothschild commencèrent à cultiver l'attention et l'amitié de Mr Chaïm Weizmann. L' Organisation sioniste internationale devait donc être reconnue ; les Rothschild commandèrent un chapeau haut de forme et un costume à l'adresse de Chaïm Weizmann qui fut traité dès lors en véritable chef d'état comme s'il était déjà à la tête du gouvernement palestinien, ce qu'il devint par la suite. Les Rothschild redoublèrent d'intérêt dans leur plan de financement du mouvement sioniste en Palestine ; en contrepartie de quoi leur était laissée la construction de leur canal à travers le Palestine.
Récapitulons toutes les étapes depuis le début. La Grande Bretagne était certaine de battre l'Allemagne, elle était aussi d'accord pour octroyer la Palestine aux Sionistes pour les récompenser d'avoir fait participer les USA contre l'Allemagne. Le chaînon manquant de ce développement était l'existence en Palestine d'un Etat sioniste. Les Rothschild financèrent le déplacement ethnique de 600 000 Juifs ashkenazes d'Europe de l'Est en Palestine, et s'engagèrent à évacuer jusqu'au dernier des deux millions de soldats de l'armée du Général Allenby hors de Palestine.
Le 18 mai 1948, en collaboration avec le Président Truman, 600 000 immigrants clandestins juifs armés jusqu'aux dents, entamèrent l'expulsion de 1 350 000 Musulmans et Chrétiens palestiniens totalement désarmés et sans défense ; et dans la foulée de cette invasion armée, ils déclarèrent l'Etat d'Israël.
A présent les Rothschild étaient satisfaits. La dernière étape restait de forcer les pays arabes à reconnaître cet état fantoche. Les Rothschild commencèrent leur dernière mise en scène par construire l'actuel oléoduc d'Ashkelon sur la Méditerranée jusqu'à Aqaba sur le Golfe d'Aqaba, longeant de ce fait leur futur canal moderne. La situation du Moyen Orient n'est rien d'autre que le résultat des efforts des Rothschild à sécuriser et à maintenir en permanence leurs accès vital à l'Extrême Orient. Cette aberration de la notion de ‘rapatriement' du ‘peuple élu de Dieu' vers leur ‘terre promise ‘ s'avère être un des plus grands mensonges qu'ait connu l'humanité. Le but unique des Rothschild était de contrôler et de sécuriser en permanence leur accès vital en l'occurrence le Canal de Suez à leurs vastes ressources naturelles de l'Extrême Orient.
L'auteur a eu la patience et le temps d'informer sept présidents américains sur la vraie raison de l'agression juive envers les Palestiniens. Ces sept maîtres de la tromperie furent tous sensibilisés par l'auteur sur la véritable cause de la tragédie palestinienne, engendrant une des plus grandes injustices de l'histoire. L'auteur dépensa une fortune pour informer les membres du Congres, les dirigeants politiques et les industriels américains, exposant toutes les évidences, fournissant tous les documents et preuves écrites corroborant le moindre propos ou déclaration fait à ce sujet. Cela crève les yeux que l'Amérique et le monde sont forcés à dépenser des milliards de dollars pour voir les Rothschild protéger constamment leur accès vital à leurs richesses illimitées d'Extrême Orient. Le plus grand danger à venir est que ce conflit puisse dégénérer en une autre guerre mondiale.
Si le Sionisme international décidait d'engager le monde dans une autre guerre mondiale rien que pour établir ‘le peuple élu de Dieu' dans sa ‘terre promise', gouvernant le monde à partir de la Palestine ; alors il serait temps de révéler au monde la raison de cette comédie.