Des Macchabées Et Des Hommes.

Nouveau Manège Yaoudi

au Chambon-sur-Lignon.

            Ils ne s'en lasseront jamais ! Lundi 10 mai dernier, la smala Wauquiez, mère & fils, nous ont joué une nouvelle comédie « en l'honneur des Justes » au Chambon-sur-Lignon, où la mère est maire depuis mars 2008. L'ambassadeur d'Israël, Daniel Shek, avait fait le déplacement pour cet énorme évènement de la vie auvergnate. Ils nous ont sorti un vieillard du coin, Mr Jean Brottes, 88 balais, censé avoir sauvé la vie d'un enfant juif il y a soixante-huit ans. Quel immense soulagement dans les chaumières ! Du coup, ça te fait oublier la baisse vertigineuse de ton pouvoir d'achat et les emplois qu'on vient de supprimer dans ton usine. Mr Brottes est décrit par la presse juive locale comme « une star » et un « héros malgré lui ». Malgré lui ? On se demande à ce moment-là ce que fait le Papy Brottes sur l'estrade en train de prononcer son discours ? Il aurait mieux fait de rester chez lui à planter ses patates, c'est la saison en Auvergne. D'ailleurs, une fois que le camarade Brottes aura fini de faire le guignol devant Monsieur l'Ambassadeur et les autres notables yaoudi, ceux-ci vont se fendre la poire en se gaussant de lui et de tous les autres « amme haarets » (= « culs terreux », « idiots ») qui se laissent prendre par leur propagande. Il faut noter que le Talmud, livre sacré de Mr Shek et de ses coreligionnaires, stigmatise tout Juif qui prendrait comme épouse une des ces « habitantes de la terre » («  nokhrioth  » en hébreu) en ces mots : « Vous avez péché contre Dieu ! » Mr Brottes est un « juste » oui, mais « juste bon à être l'esclave du Peuple élu », selon le Talmud : « Dieu a créé les Chrétiens sous la forme d'hommes pour la gloire d'Israël. Mais ces Akum (= Chrétiens) furent créés à la seule fin de servir les Juifs jour et nuit. Ils ne pourront jamais être exemptés de ce service. Car il est bon pour tout Israëlite que des animaux sous leur forme naturelle et aussi des animaux sous la forme apparente d'êtres humains (= Chrétiens) soient à son service. » C'est le credo de nos amis de la Licra, par exemple, Mr Alain Jakubowicz en tête, ceux qui nous enseignent à nous autres « amme haaretz » les vertus de l'égalité et de la fraternité entre les races, valeurs en fonction desquelles nous ne devons en aucun cas dénoncer les turpitudes des Juifs talmudistes – et la pédocriminalité (Lang, Kouchner, Cohn-Bendit, Polanski etc) qu'ils pratiquent sur les enfants goyim en toute quiétude. Pas étonnant dans ces conditions que Laurent Wauquiez, ce pauvre bonhomme qui se donne tant d'airs mais qui est en réalité une vraie saloperie sur le plan moral, défende bec et ongles les grands pratiquants de la pédocriminalité, et Monsieur Frédéric Mitterrand en premier. Pendant que la Socpresse (‘Le Dauphiné Libéré', ‘Le Progrès', ‘La Voix du Nord', ‘Le Figaro' etc ) du Juif Dassault tente d'endormir ses lecteurs avec de telles histoires de macchabées altiligériens, la fête continue chez les pédophiles copains de Wauquiez-la-Pourriture. Au risque de gâcher votre soirée, on vous propose donc, par pur antagonisme, le témoignage d'une jeune femme sauvée de ce vrai Holocauste, le seul qui compte, celui des enfants goyim. Ce n'est pas une histoire de 1942, mais plutôt de 1975. Et si la femme en question a trouvé le courage de témoigner, c'est en souvenir des autres enfants qu'elle a connus et qui n'ont pas survécu à cette vraie Shoah, celle d'aujourd'hui, celle que propage Wauquiez et sa bande de salopards, celle qui terrorise et tue dans l'ombre, loin des guignolades que nous servent la presse juive. Ecoutez la jeune femme. Elle avait six ans à l'époque. Elle passait sa soirée chez les copains à Wauquiez. Ce sont des gens formidables. Vous avez raison de les élire pour vous représenter.

            « Lorsque la voiture s'arrêta, un homme ouvrit la portière, me tira hors de l'auto et me poussa jusqu'à un escalier en pierre. Nous arrivâmes devant une porte vitrée. J'eus juste le temps de voir que c'était une grande maison, et il me poussa dans le corridor. Finalement je fus poussée dans une sorte de grand bureau, avec un tapis brun et un bureau en bois foncé, un coin salon avec un fauteuil de coin beige en tissu, un pouf et une table de salon. Dans un coin un grand matelas était à même sur le sol, entouré de spots de photographe. Environ huit personnes, parmi lesquels quelques visages connus, étaient assises dans le coin salon. Autour du matelas se tenaient trois hommes, un avec une caméra, un autre qui s'occupait de l'éclairage et le troisième qui ouvrait un coffre. Ce bref aperçu suffit à me donner le frisson. La peur fut présente dès que j'entrai dans la pièce, mais maintenant elle se faisait sentir. Il y avait des menottes, un fouet, des bougies et d'autres objets du même genre. La lame d'un couteau lançait des éclairs. Je reculai et cherchai refuge auprès de l'homme qui m'avait amenée. Si j'avais pu, j'aurais disparu dans le sol tellement j'avais peur. Il me tint solidement par les épaules. « Luc ! » cria le cameraman vers l'autre porte. Le jeune homme blond qui entra me donna de nouveaux frissons. Il prit une cape de cuir, la mit sur sa tête de manière à ne pas être reconnaissable sur le film. « Enlève ta chemise de nuit ! » ordonna-t-il. Je fis ce qu'il me dit en tremblant. J'étais nue devant tous ces spectateurs, si petite et si consciente de ma vulnérabilité, et je ne parvenais pas à détacher mon regard du couteau. Je restai là, comme un petit lapin nu. Chacun s'assit, détendu, comme pour voir un film. Un claquement de doigts : c'est le signe que je dois aller m'asseoir sur le matelas, tournée vers le public, les jambes écartées. « Joue avec ton corps. » J'exécute consciencieusement les ordres. « Stop ! » Je me couche. Il vient s'asseoir près de moi, me demander ce qui me ferait plaisir. « Je veux quelque chose en moi » répondis-je, comme je l'avais répété des milliers de fois. « Quoi ? » « Quelque chose de gros. » Le petit jeu continue. Moi, la petite fille de six ans, je dis d'une petite voix ce qui devrait se trouver en moi. J'aimerais tant disparaître dans le néant, mais je dois obéir. Il pousse quelque chose très loin en moi, je gémis et essaye de me retirer un peu. « Tu es vilaine. Que dois-je faire maintenant ? » « Je dois être punie » dis-je difficilement. La douleur me brûle, je me recroqueville en esprit, mais je ne peux pas refuser de jouer mon rôle et de prononcer les mots qui m'ont été si soigneusement appris. Il tourne son doigt. Je me retourne, montrant mon dos aux spectateurs. J'essaye de ne pas pleurer, de m'échapper de ce corps. « Combien de fois dois-je frapper ? Combien de coups mérites-tu ? » Que dois-je dire ? Je ne peux pas choisir un nombre trop petit, parce que sinon il déterminera lui-même le nombre de coups. Mais je ne veux pas non plus recevoir trop de coups. Je n'ai que quelques secondes pour faire ce choix déchirant. « Six » ai-je murmuré avec angoisse et en priant pour que ce soit assez. Il prend le fouet, et frappe au moins dix fois, tout juste le nombre de coups que je pouvais supporter. Je chasse la douleur et les larmes qui me montent aux yeux, sachant bien que sinon j'aurai encore beaucoup plus mal. Ils veulent voir de l'angoisse et de la douleur, mais seulement sur leurs ordres, pas plus tôt. La caméra effectue un zoom avant.

J'ai horreur des films, des scènes et des hommes qui peuvent utiliser les plans qu'ils ont faits de moi. La fabrique où la plupart des films sont tournés est un des endroits où on m'emmène le plus. Des films pornos d'enfants y sont tournés toute l'année, avec moi, avec d'autres enfants, parfois même avec des petites victimes qui y meurent. Parfois, dans l'une ou l'autre soirée, on repasse un film dans lequel je joue. Les films étaient tournés sur de grandes bobines, puis sur Betamax , finalement sur VHS. Le scénario tient en quelques mots. Je hais cette caméra qui filme mon corps si froidement, sans aucune pitié, qui viole et expose mon intimité, qui me confronte avec les choses que j'ai subies. Il n'y a rien dans mon corps qui soit privé. Lors des partouzes, les enfants sont obligés de pisser devant des hommes qui regardent. Ils doivent se masturber, des photos sont prises de leurs parties génitales, ils se font monter par des animaux. Leur corps est un objet. Les bourreaux sont conscients de ces souffrances uniquement quand ils en ont envie. Sinon, nous devons nous taire. »

Témoignage de Regina Louf, victime du réseau pédophile international fourni par, entre autres, Marc Dutroux .             

Le 16 mai 2010.