Le Programme de Gouvernement Mondial des Banquiers Apatrides Est En Marche !

par Khareb.

" Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New-York Times, à Time Magazine ainsi qu'à d'autres grandes publications dont les directeurs respectifs ont assisté à nos réunions depuis bientôt quarante ans en respectant leur promesse d'être discrets. Il nous aurait été impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été soumis aux feux de l'actualité tout au long de ces années. Mais le monde est aujourd'hui plus averti et prêt à s'orienter vers un gouvernement mondial.  La souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et de banquiers internationaux vaut sûrement mieux que l'autodétermination nationale en vigueur au cours des siècles passés."

David Rockefeller en 1991 au cours de la réunion du Bilderberg à Baden-Baden.

 

En 1791, les Rothschild obtiennent le contrôle de l'argent de la nation américaine via Alexander Hamilton, leur agent dans le cabinet de George Washington. Lorsqu'ils montent leur première banque centrale aux Etats-Unis, appelée la  First Bank of the United States, elle est établie pour vingt ans par contrat sur le modèle de la Banque privée d'Angleterre.

Benjamin Franklin, qui connaissait parfaitement le fonctionnement de cette dernière réalisa très vite le danger que représentait une banque centrale privée contrôlant l'émission d'argent dans son pays et en bloqua l'accès jusqu'à sa mort en 1790.   

Ensuite Thomas Jefferson (1743-1826) s'opposa férocement à la loi qui donnait le feu vert à la création d'une banque centrale contrôlée par des intérêts privés mais George Washington signa l'autorisation sur les conseils de Hamilton, malgré le fait que la Constitution américaine plaçait très clairement le contrôle de l'argent national entre les mains du seul Congrès.    

"J'ai pour conviction que les institutions bancaires sont plus dangereuses que les armées permanentes....Si un jour le peuple américain laisse les banques privées contrôler l'émission de monnaie, les banques et les sociétés qui s'érigeront autour de lui, le priveront de ses propriétés jusqu'à ce que ses enfants se réveillent sans abri sur le continent que leurs pères conquirent. " 

Thomas Jefferson

La banque nationale d'Hamilton n'était pas une banque du gouvernement fédéral américain : elle était détenue à 80% par des investisseurs privés, par ceux-là même qui avaient combattu sur le champ de bataille contre l'indépendance des Etats-Unis : la City de Londres.   

En fait, les termes de banque "nationale " ou "centrale " se réfèrent depuis le départ à des banques privées sur le modèle britannique.

Nathan Rothschild, banquier le plus puissant de Londres, investit lourdement sur la nouvelle banque américaine. Guidant les activités de ladite banque depuis les coulisses londoniennes, les banquiers de la City visaient  le contrôle des activités financières en Amérique et le contrôle total du crédit.

Pour de nombreux Américains conscients de ce qui se passait, cela équivalait à une re-colonisation des Etats-Unis par l'Angleterre mais par des moyens financiers et économiques. 

C'est à ce moment que fut menée la première tentative de "mêler" les intérêts gouvernementaux et privés pour donner une façade gouvernementale à ce qui n'était en fait que des intérêts privés.     

En 1811, le contrat de la  First Bank of the United States  arriva à sa fin et le Congrès refusa de voter son renouvellement. Elle était, en effet, désignée comme responsable de la hausse des prix à la consommation.

Nathan  Rothschild, furieux, déclara :  "Ou bien l'accord de renouvellement est donné, ou bien les Etats -Unis vont se retrouver impliqués dans une guerre des plus désastreuses."

Les Etats-Unis maintinrent leur position : le contrat ne fut pas renouvelé et Nathan Rothschild déclara :  "Donne une leçon à ces impudents d'Américains. Ramène-les au colonialisme."

En 1812, soutenus par l'argent des Rothschild et sur les ordres de Nathan Rothschild, les Britanniques déclarèrent la guerre aux Etats-Unis. Là, les versions diffèrent, certains disent que c'est James Madison qui pressa le Congrès de déclarer la guerre à l'Angleterre mais le résultat est que cette guerre endetta considérablement les Etats-Unis qui tombèrent entre les griffes des banques privées londoniennes.

La guerre anglo-américaine se termina par la mort de milliers de soldats britanniques et américains mais les Rothschild avaient réussi; ils avaient leur banque !  

Le plan des Rothschild était d'endetter les Etats-Unis à un point tel qu'il ne leur resterait qu'à se soumettre à eux et permettrait au fameux contrat d'être reconduit.

En 1816, le Congrès américain vota une loi permettant à une autre banque centrale dominée par les Rothschild de prendre le contrôle de l'émission d'argent étasunien. C'est la  Second Bank of the United States  qui avait aussi un contrat de 20 ans.

La nouvelle banque, dont 80% appartenaient à des fonds privés britanniques, a désormais en supplément le pouvoir de contrôler la totalité de la structure fiscale américaine. 

En 1819, la Cour Suprême américaine déclara la  Second Bank of the United States  constitutionnelle alors qu'elle ne l'était pas et qu'il fallut une contorsion juridique des plus douteuses pour arriver à cette conclusion.                         

En 1832, le président Andrew Jackson (7ème président des Etats-Unis de 1829-1839) fait campagne pour un second mandat sous le slogan  Jackson and no bank. Ceci en référence à son plan de reprendre le contrôle du système monétaire américain au bénéfice du peuple américain et non à celui des Rothschild et de leur mafia.

"Je suis l'un de ceux qui ne croient pas que la dette nationale soit une bénédiction...tout ceci est calculé pour ériger autour de l'administration une aristocratie argentée dangereuse pour les libertés du pays."       

Lettre d'Andrew Jackson à L.H Coleman of Warrington, N.C le 29 avril 1824.  

En 1833, Andrew Jackson commence à retirer les dépôts gouvernementaux de la  Second Bank  of the United States contrôlée par les Rothschild et les dépose à la place dans des banques dirigées par des Américains.

Les Rothschild manipulèrent les volumes d'argent de telle manière que cela causa la panique de 1837 et une dépression.      

Le président Jackson savait de quoi ils étaient capables et déclara plus tard :  "Vous êtes une bande de vipères, de voleurs. J'ai l'intention de vous expulser et, par le Dieu Éternel, je vous expulserai".     

En 1835, le 30 janvier, on tenta d'assassiner le président Jackson qui échappa miraculeusement à l'attentat. Il déclara plus tard qu'il savait que les Rothschild étaient responsables de la tentative d'assassinat à son encontre.

En 1836, Jackson réussit finalement à mettre dehors la banque centrale des Rothschild par le non-renouvellement du contrat.

Mais en 1837, en pleine panique financière, Nathan Rothschild envoya August Belmont Sr en Amérique, en qualité de son agent privé. August Belmont fonda la banque d'investissement,  August Belmont and Co  avec Nathan Rothschild dans les coulisses.

Rothschild était obligé d'opérer via ses agents plutôt qu'en son nom propre après la défaite de la  Second Bank  of  the United States  et la très mauvaise publicité qui en avait résulté. 

Belmont protégea si efficacement le nom et les intérêts Rothschild qu'il devint plus tard conseiller financier de présidents étasuniens, puis chef du parti démocrate, postes qui lui permirent depuis les coulisses de fomenter la Guerre civile américaine. 

1841 : Le président John Tyler (10ème président des Etats Unis de 1841-1845) mit son veto à l'acte de renouvellement de la Banque des Etats-Unis. Il reçut des centaines de lettres de menaces de mort.  

1861 : Le président Abraham Lincoln (16ème président des Etats Unis 1860-1865) approche les grandes banques new-yorkaises pour tenter d'obtenir des prêts pour financer la guerre civile.  Etant donné que ces banques étaient largement sous l'influence des Rothschild, elles lui firent une offre qu'elles savaient qu'il ne pourrait accepter, à savoir: 24 à 36% d'intérêts sur toutes les sommes prêtées.

Lincoln, furieux, décida d'imprimer son propre argent et informa le public que c'était désormais la monnaie ayant cours légal pour les dettes privées et publiques.    

En 1862, 449 338 902 $ en monnaie légale furent imprimés et distribués. Lincoln déclara :  "Nous avons donné au peuple de cette république la plus grande bénédiction jamais reçue : son propre argent pour payer ses propre dettes. "

En 1863, Abraham Lincoln apprit que le Tsar de Russie, Alexandre II (1855-1881) avait des problèmes avec les Rothschild aussi parce qu'il leur refusait constamment de pouvoir monter une banque centrale en Russie. Le Tsar apporta alors à Lincoln un soutien inattendu. Il donna ordre que si l'Angleterre ou la France prenait part activement à la guerre civile américaine et aidait le Sud (guerre de Secession), la Russie considérerait cet acte comme une déclaration de guerre et prendrait parti pour le Président Lincoln. Pour montrer qu'il ne plaisantait pas, il envoya une partie de sa flotte du Pacifique au port de San Francisco et une autre à New-York.

En 1865, dans une déclaration au Congrès, le Président Abraham Lincoln déclara;  "Jai deux grands ennemis, l'Armée du Sud en face de moi et les institutions financières dans mon dos. Des deux, celui qui est derrière moi, est le pire."   

Un peu plus tard, le 14 avril de la même année, Lincoln était assassiné.  

Abraham Lincoln représentait une très sérieuse menace pour les intérêts Rothschild et consorts, autrement dit les gros banquiers internationaux apatrides. 

Dès que sa mort fut annoncée, une bataille s'ensuivit au Congrès pour retirer de la circulation l'argent que le défunt président avait créé et le remplacer par une monnaie désormais soutenue par l'or. 

Le but était de permettre à ceux qui détenaient de l'or, à savoir Londres et une petit clique de banquiers internationaux basée à New-York, de verrouiller l'émission de monnaie américaine par une équivalence en or. Et, à cette époque, l'or était aux mains principalement de la Banque d'Angleterre et des autres banques londoniennes.

Les banquiers internationaux avaient pour but de s'enrichir, bien sûr, mais aussi de contrôler la politique mondiale via l'argent. 

William Engdahl dans son livre  Gods of Money  nous dit :  "En 1862 au cours des premiers mois de la Guerre de Sécession, un mémo circula secrètement entre les mains des riches aristocrates et banquiers de la City de Londres. Il donnait une évaluation des événements ayant cours aux Etats Unis.                     

"L'esclavage sera vraisemblablement aboli par la guerre et le droit de posséder des esclaves aussi. Moi et mes amis européens sommes favorables à l'esclavage, parce que l'esclavage n'est que la propriété du travail et comporte la prise en charge des travailleurs, alors le plan européen, conduit par l'Angleterre est que le capital contrôlera le travail par les salaires. La grande dette que les capitalistes verront doit être créée à partir des guerres et utilisée comme moyen de contrôle du volume d'argent. Pour accomplir ceci, les obligations doivent être utilisées comme base bancaire. Nous attendons maintenant que le Secrétaire au Trésor fasse cette recommandation au Congrès. Cela ne permettra plus au billet vert de circuler librement pendant encore longtemps parce que nous ne pouvons le contrôler. Mais nous pouvons contrôler les obligations et à travers elles, les émissions des banques. "  

1881 : Le Président James A Garfield (20ème président des Etats-Unis qui ne resta en poste que 100 jours) déclara deux semaines avant d'être assassiné.  "Quiconque contrôle le volume d'argent dans notre pays est le maître absolu de toute l'industrie et de tout le commerce....et lorsque vous réalisez que le système entier est très facilement contrôlé, d'une manière ou d'une autre, par une poignée d'hommes très puissants, il n'est pas nécessaire que l'on nous explique l'origine des inflations et des dépressions. "

LA CRÉATION DE LA RÉSERVE FÉDÉRALE

Alors que l'Empire britannique amorçait son déclin après la dépression débutée en 1873, un défi s'annonçait à relever de l'autre côté de l'Atlantique. De puissantes familles d'industriels et de banquiers réunies autour de J.P. Morgan et John D. Rockefeller concentraient toute la richesse et l'industrie américaine entre leurs mains.    

Dans leur ascension pour le pouvoir et la richesse, les Morgan et Rockefeller avaient déployé toutes les manoeuvres et machinations possibles sans aucune considération morale : fraude, imposture, violence, corruption, trafic de l'or, des diamants, d'esclaves et autres contrebandes en plus de manipuler délibérement les paniques financières mais ce pouvoir et cette puissance devait rendre des comptes à Londres, qui, elle seule, détenait le véritable pouvoir. Et le pouvoir à Londres portait le nom de Rothschild. Il s'avérait donc que les Etats-Unis étaient déjà sous l'emprise de la City de Londres et des Rothschild avant la création de la Réserve Fédérale. C'est d'ailleurs grâce à cela qu'elle put être créée.

C'est à ce moment-là aussi que se consolida plus officiellement l'axe anglo-américain en vue de la prise de contrôle total de  l'argent, du crédit et de la finance sur le continent américain. Toutes ces associations et partenariats s'établirent sur une base de sociétés secrètes visant à réunir une élite pour oeuvrer à des projets communs. La  Pilgrims Society,  fondée en 1902, fut l'une d'elles.      

En 1910, les puissants banquiers internationaux apatrides se réunirent en grand secret pour travailler au projet de ce qui allait devenir la Réserve Fédérale.

Sept hommes des plus puissants d'Amérique se rendirent dans la propriété de J.PMorgan à Jekyll Island

- Nelson W. Aldrich, président de la  National Monetary Commission, associé de J.P Morgan et beau-père de John D Rockefeller Jr.

- Abraham Piatt Andrew, secrétaire assistant du Trésor US

- Frank Vanderlip, président de la  National City Bank of New-York  des Rockefeller, la plus puissante banque de l'époque

- Henry Davison, premier associé de J.P Morgan

- Charles D. Norton, président de la  First National Bank of New-York  de JP Morgan    

- Benjamin Strong, vice président du  Bankers Trust  contrôlé par JP Morgan

- Paul Warburg, cerveau de l'opération, associé de Kuhn, Loeb et Cie et représentant la Maison Rothschild de France et d'Angleterre et frère de Max Warburg qui était de son côté à la tête du consortium bancaire Warburg en Allemagne et aux Pays-Bas.

Le projet, une fois monté, devait être remis au Sénateur Aldrich qui était chargé de le faire voter par le Congrès.

Au début de l'année 1907, le  New York Times Annual Financial Review  avait publié le plan de réforme d'un dénommé Paul Warburg (un associé de  Kuhn, Loeb and Co)  appelé   "A plan for a Modified Central Bank "  dans lequel il donnait les grandes lignes de remèdes pour éviter les paniques.

Toujours en 1907, Jacob Schiff, le CEO (PDG) de  Kuhn, Loeb and Co,  avait fait un discours à la Chambre de Commerce de New-York avertissant le public :  "A moins que nous ayons une banque centrale avec un contrôle adéquat des ressources de crédit, ce pays va subir la plus sévère panique financière jamais atteinte. "   La panique frappa de plein fouet en octobre 1907. 

La panique de 1907 avait été orchestrée afin d'amener le peuple à accepter l'idée d'une réforme bancaire. 

Morgan et Rockefeller avaient préparé le terrain en utilisant leur position dominante pour déclarer qu'une puissante banque new-yorkaise était en faillite, ce qui provoqua une réaction en chaîne débutant par une gigantesque panique parmi le public qui s'empressa d'aller retirer ses avoirs, forçant certaines banques à vendre tous leurs biens pour emprunter et payer leurs clients. 

Il serait ensuite plus facile de proposer un remède au mal qu'ils avaient eux-mêmes créé.

Une tactique récurrente consiste à créer le problème qui va générer une réaction qui demande solution.

Autrement dit :

PROBLÈME - RÉACTION -SOLUTION

La recette universelle mise à toutes les sauces !      

Cette panique déclencha une investigation menée par le Sénateur Nelson Aldrich qui préconisa, en remettant ses conclusions au Congrès, la création d'une banque centrale pour éviter que ce type d'événement ne se reproduise dans le futur.

Le travail d'Aldrich avait pour but de faire valider par le Congrès le projet de banque élaboré en secret à Jekyll Island par les banquiers (en le faisant passer pour ses propres conclusions), avec promesse de stabilité financière, de contrôle par des experts impartiaux sans interférence avec la politique. Le nom fut soigneusement choisi afin de donner l'illusion d'une institution fédérale, donc gouvernementale, mais pour ce faire, il fallait  que cette loi fut votée par le Congrès et signée par le Président. C'est l'accord qui fut passé entre les banquiers apatrides et Woodrow Wilson : le soutien financier des banquiers afin qu'il accède à la Présidence et en retour, il devait signer le  Federal Reserve Act.

En 1913, la Réserve Fédérale fut donc créée sous la présidence de Woodrow Wilson qui fut téléguidé par le Colonel Edward House, ce dernier soutenant les intérêts des banquiers de Londres et de Wall Street, et le concept de société fabianiste. 

Wilson, sur son lit de mort, reconnut son erreur, disant qu' avoir permis la création de la Réserve Fédérale fut une trahison à son pays. 

"Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré entre les mains de quelques hommes. Nous sommes devenus l'un des gouvernements les plus  contrôlés et les plus dominés du monde - nous ne sommes plus un gouvernement libre de ses opinions, ni de ses convictions ni respectant le vote de la majorité, mais un gouvernement sous la contrainte d'un petit  groupe d'hommes puissants". 

Le Congrès vota donc le  Federal Reserve Act  qui allait donner tout pouvoir aux banquiers pour piller les Américains comme le reste du monde grâce à une façade fédérale donc gouvernementale masquant la réalité privée des gigantesques intérêts en jeu. Il s'agissait ni plus ni moins de la création d'un cartel. Le contribuable américain et plus largement le contribuable du monde entier allait devenir par ce tour de passe-passe légalisé juridiquement, l'esclave économique des banquiers apatrides. Ainsi, tout ce que pourquoi s'étaient battus jusqu'à en perdre la vie les précédents présidents américains était désormais caduque. 

Ce cartel avait pour but d'éliminer la compétition et de maximiser les profits en utilisant le pouvoir des organes et institutions gouvernementales pour installer et renforcer le cartel.

Il était donc encore une fois vital que l'imposture reste totalement secrète pour ce qui allait devenir la plus grande catastrophe planétaire et la ruine de l'humanité.   

De nombreux membres du Congrès étaient conscients que le Plan Aldrich était le plan de Wall Street.

Charles August Lindbergh Sr, féroce opposant, écrivit en 1913 ' Banking, Currency and Money Trust'  dans lequel il décrivait minutieusement l'objectif politique des banquiers internationaux de Wall Street qui étaient en train de concevoir le projet d'une nouvelle banque centrale par laquelle ils contrôleraient l'économie nationale. Il dénonça les machinations secrètes des puissants intérêts financiers de Wall Street et leur effort pour faire passer une loi qui, plus que toute autre, allait façonner la future histoire de la nation américaine et encore plus, celle du monde : le Federal Reserve Act.

"Le Plan Aldrich est le Plan de Wall Street. Ce qui signifie une autre vague de panique, si nécessaire, pour intimider le peuple. Aldrich, payé par le gouvernement pour représenter le peuple, propose à la place un plan pour les trusts - Le Plan Aldrich fut le plan annonciateur qui engendra la Réserve fédérale" . Charles Lindbergh, Membre du Congrès.

"Ceci [Le Federal Reserve Act] établit le plus gigantesque cartel sur terre. Lorsque le président signe ce projet de loi, le gouvernement invisible de la puissance monétaire sera légalisé .... le pire crime législatif de tous les temps est perpétré par ce projet de loi bancaire et monétaire."

Charles Lindbergh, Membre du Congrès

Malheureusement, la propagande que les banquiers menèrent à coups de millions de dollars permit de faire voter la loi.  

Six ans plus tard, un écrivain financier appelé Bertie Charles Forbes, futur fondateur du Magazine Forbes, écrivait:   

" Imaginez quelques uns des plus importants banquiers du pays quittant New-York à la dérobée dans un wagon de train privé camouflé par la nuit noire, se hâtant quelques centaines de miles au Sud et embarquant furtivement pour se rendre sur une île déserte dont le personnel pendant toute une semaine est tenu au secret de telle façon qu'aucun nom des participants ne fut mentionné une seule fois pendant leur séjour de peur que les serviteurs puissent les identifier et révéler au monde, cette étrange et des plus secrètes expéditions de l'histoire américaine de la finance. 

Je ne suis pas en train de romancer. Je suis en train de révéler au monde pour la première fois la véritable histoire sur la manière dont le fameux rapport monétaire Aldrich, la base de notre nouveau système monétaire, fut écrit.....Le plus grand secret fut demandé à tous. Le public ne devait pas grapiller la moindre information sur ce qui était en train de se faire. Le sénateur Aldrich notifia chaque participant de se diriger calmement vers le wagon privé que les chemins de fer avaient reçu ordre de déplacer vers une plateforme déserte. Les omniprésents reporters new-yorkais avaient été éloignés.....

Nelson Aldrich avait avoué à Henry, Frank, Paul et Piatt qu'il devait les garder enfermés à Jekyll Island, coupés du reste du monde, jusqu'à ce qu'ils aient élaboré et dressé un savant système monétaire pour les Etats-Unis, la création du système actuel de la Réserve Fédérale américaine. Le plan fut élaboré à Jekyll Island à la réunion entre Paul, Frank et Henry.......Warburg est le lien qui lie le système Aldrich au système actuel. Lui (Paul Warburg) plus que quiconque a fait d'une possibilité une réalité . "      

Reconstituant les pièces du puzzle quelques années plus tard, Fredrik Allen de Time Magazine déclara: "Les intérêts Morgan profitèrent... afin de précipiter la Panique de 1907, la guidant habilement au fur et à mesure qu'elle progressait."

"......Il est peu connu qu'il y a, cependant, une agence fédérale qui distance les autres de très loin en termes de secret. Le système de la Réserve Fédérale n'a aucune obligation de rendre des comptes à quiconque, ni de s'expliquer sur ses décisions et actions comme elle n'a aucun budget et n'est soumise à aucun audit. Aucune commission de Congrès ne connaît ou ne peut véritablement superviser ses opérations. La Réserve Fédérale, qui a, en fait, un contrôle total sur le système monétaire vital du pays, n'a aucun compte à rendre à quiconque - et cette étrange situation, si elle est reconnue par tous, est proclamée invariablement comme étant une vertu." 

Voilà ce que nous dit Caroll Quigley dans son livre  Tragedy and Hope: "Le but des banquiers internationaux était de créer un système mondial de contrôle financier entre les mains de banques privées capables de dominer le système politique de chaque pays et l'économie du monde dans son ensemble. Ce système devait être contrôlé de manière féodale par les banques centrales du monde entier agissant de concert, par des accords secrets pris lors de fréquentes réunions et conférences privées."    

Il est à noter que cet ouvrage fut publié pour la première fois en 1975 aux USA mais fut retiré des rayons des librairies séance tenante tant ce qu'il dénonçait était explosif et dangereux. En effet Quigley, qui était professeur d'histoire au  Foreign Service School of Georgetown University, avait eu accès pendant deux années aux archives  privées  du   Committee on Foreign Relations ( CFR), une organisation internationale que la famille Rockefeller contrôle avec la Commission Trilatérale et la Royal Institute of International Affairs (RIIA de Londres). Ce livre fut réimprimé en 1995 grâce à Bill Clinton, une fois que le  danger était passé. En effet, actuellement, cela ne pose plus de problème à ces  grands hommes  que la vérité soit révélée, au moins sur certains plans, tant ils sont absolument certains de leur réussite. Voici que qu'a dit David Rockefeller en 1991 au cours de la réunion du Bilderberg à Baden-Baden  " Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New-York Times, à Time Magazine ainsi qu'à d'autres grandes publications dont les directeurs respectifs ont assisté à nos réunions depuis bientôt quarante ans en respectant leur promesse d'être discrets." 

"Il nous aurait été impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été soumis aux feux de l'actualité tout au long de ces années. Mais le monde est aujourd'hui plus averti et prêt à s'orienter vers un gouvernement mondial.  La souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et de banquiers internationaux vaut sûrement mieux que l'autodétermination nationale en vigueur au cours des siècles passés."

Un certain Ezra Pound eut beaucoup moins de chance quand il subodora, beaucoup plus tôt, beaucoup trop tôt, les desseins des puissantes forces occultes à l'oeuvre, ce qui lui valut d'être incarcéré, sans avoir  droit au moindre procès, comme prisonnier politique pendant plus de treize ans à  St Elizabeth's Hospital, Washington DC, une institution fédérale pour malades mentaux. Poéte, musicien, critique, Ezra Pound avait vu clair dans le jeu qui se profilait et fit tout ce qui était en son pouvoir, notamment via des émissions radio, pour persuader le peuple américain de ne pas entrer en guerre (2ème guerre mondiale). C'est pendant son emprisonnement qu'il rencontra Eustace Mullins qui effectuait des travaux de recherche à la Library of Congress (l'équivalent américain de notre Bibliothèque Nationale de France) à qui il demanda de mener l'enquête sur la Réserve Fédérale. 

Après deux années de travail intensif et de découvertes ô combien troublantes, Eustace Mullins se mit à la recherche d'un éditeur qu'il ne trouva jamais puisque personne ne voulut prendre le risque d'éditer son manuscrit. Le livre fut finalement publié en 1952 grâce à deux disciples de Pound sous le titre de  Mullins  on the Federal Reserve. Il révélait donc pour la première fois toute l'histoire de la création et de la mise en place de la Réserve Fédérale par une oligarchie de banquiers internationaux.

Une seconde édition parut en 1954 sous le nom de  Federal Reserve Conspiracy. En 1955, le livre était édité en Allemagne où le tirage de 10 000 exemplaires fut saisi en totalité et brûlé par des agents du gouvernement allemand. Une décision confirmée par le Juge de la Cour Suprême bavaroise, Israel Katz, le 21 avril 1961. Le gouvernement américain refusa d'intervenir. C'était pourtant le seul cas de livres brûlés en Allemagne depuis la seconde guerre mondiale.            

En 1968, une édition piratée apparut en Californie. Pendant plus de dix ans, Eustace Mullins porta plainte contre cet état de fait mais le FBI et les inspecteurs de la US Postal refusèrent d'agir.

Eustace Mullins consacra le restant de sa vie à ce domaine et à ceux qui lui sont connexes. 

Louis Thomas McFadden (1876-1936), membre du Congrès et militant acharné contre les banquiers apatrides déclara son intention de déposer une procédure d'impeachment  pour la Fédérale Réserve. Il avait déjà survécu à deux tentatives d'assassinat, lorsque la troisième réussit. Il fut empoisonné lors d'un banquet avant qu'il ne puisse obtenir le vote de l'impeachment.            

Le 5 avril 1933 tombait l'Executive Order 6102. Il s'agissait d'un ordre exécutif par le Président Roosevelt au profit de la Réserve Fédérale. 

TOUT L'OR DÉTENU PAR DES PARTICULIERS AMÉRICAINS DEVAIT ÊTRE RESTITUÉ À LA RÉSERVE FÉDÉRALE.  

Cette loi interdisait dorénavant la possession d'or à tout particulier et ce, quelqu'en soit la forme. Les contrevenants risquaient jusqu'à 10 000$ d'amende ou une peine de prison pouvant aller jusqu'à 10 ans ou les deux. C'est à ce moment-là que des particuliers possédant de grosses quantités d'or les transférèrent à l'étranger, comme par exemple en Suisse. 

LES COMPTES   

La Réserve Fédérale allait coûter aux seuls Américains une dette de trois trillions de dollars avec des intérêts annuels avoisinant les trois cent billions de dollars par an payés à ces banquiers... finalement impossibles à rembourser.       

Les officiels de la Réserve Fédérale noyèrent le poisson en expliquant que la Réserve Fédérale avait été établie par le Congrès, qu'elle n'était donc pas une société privée, tout en disant d'un autre côté que les stocks des banques de la Réserve Fédérale appartenaient en totalité à des banques commerciales, elles-mêmes membres du système de la Réserve Fédérale. Aucune explication ne fut jamais donnée sur le fait que le gouvernement ne détenait aucune part dans aucune des banques de la Réserve Fédérale ni à la question, pourquoi la Réserve Fédérale n'est-elle pas privée puisque tous ses stocks le sont ?        

A partir du moment où la Réserve Fédérale fut créée, les banquiers n'eurent de cesse de récupérer dans leurs coffres toutes les richesses de la planète. Progressivement, l'argent allait perdre sa valeur pour n'être que du papier dont la seule valeur réside désormais dans la confiance des peuples à son égard et surtout tant que la Réserve Fédérale le décide.

La convertibilité du dollar en or fut suspendue en 1934 par Roosevelt qui prévoyait de dévaluer sa monnaie puis reconduite par les accords de Bretton Woods qui donnaient une prépondérance au dollar sur la place mondiale. 

Le 4 juin 1963 le président John F Kennedy (35ème président des Etats-Unis 1961-1963) signa l'Executive Order 11110  qui redonnait au gouvernement américain le pouvoir d'émettre la monnaie sans avoir à passer par la Réserve Fédérale. Il sera assassiné le 22 novembre suivant.  

En 1971, Nixon décide l'inconvertibilité du dollar par rapport à l'or. Cette décision extrêmement importante signait les prémisses de ce que nous vivons actuellement. Nous avions à partir de là une monnaie de référence mondiale qui "flottait", n'étant plus rattachée à aucune valeur sûre.

 
ACTUELLEMENT

Depuis le 23 mars 2006, la Réserve Fédérale ne publie plus le M3, l'indice le plus fiable sur la quantité de dollars US en circulation dans le monde. 

Autrement dit, le monde n'a absolument plus le moindre indice sur la valeur réelle du dollar.                 

La Réserve Fédérale américaine a en même temps supprimé d'autres indices dits secondaires qui auraient permis de reconstituer le M3 comme le montant des EuroDollars, les cessions en pensions, les dépôts à terme de gros montants. Toutefois, il faut savoir que la Réserve Fédérale continue de calculer le M3 et tous les autres indices et chiffres mais pour elle seule puisqu'elle a décidé de ne plus les partager avec le reste du monde. 

Il est clair, pour moi, qu'il n'y a plus d'argent en circulation. J'entends par là d'argent qui ait la moindre valeur. L'argent et toutes les richesses de la planète sont désormais dans les coffres des banques, fondations, organisations et sociétés apatrides.            

L'argent actuel n'existe que par le remboursement des dettes et crédits. Le but est donc de créer de plus en plus de dettes individuelles et collectives par le jeu des crédits, des refinancements et des renflouements de toutes sortes qui génèrent simultanément à chaque fois, un peu plus d'assujettissement des personnes, sociétés ou états endettés aux banquiers apatrides de la FED. Une sujétion qui est politique et en vue d'un contrôle mondial des individus comme des états.

Le paiement des dettes et des crédits crée désormais l'argent qui est encore une fois pompé par les seuls banquiers apatrides. Il n'est pas besoin de sortir de polytechnique pour comprendre que nous avons affaire là à une exsanguination de l'humanité par l'argent pour une prise de contrôle mondial avec, à la clé, pauvreté, famines et maladies. Ces individus ont mis au point une stratégie d'extermination de la race humaine des plus cruelles. Il n'y a d'ailleurs pas de mot assez fort pour décrire la perversité de l'esprit des banquiers apatrides et l'atrocité des crimes mis en place qui vont générer des souffrances incommensurables.

Les crédits à titre individuel donnent une valeur à l'argent du prêt, qui est fictif au départ parce que créé à partir d'un jeu d'écriture, seulement lorsque le prêt est remboursé ou l'objet du prêt saisi.

La prophétie de Thomas Jefferson commence d'ailleurs à se réaliser puisque les logements dont les crédits n'étaient plus payés ont été saisis à des centaines de milliers d'Américains. De surcroît, les banques apatrides récupèrent donc de l'immobilier et des terrains.  

En date du 15 février 2011, les forclusions et saisies des maisons ont augmenté de 50% en Californie, Arizona, Washington et de nombreux autres états. Le chiffre devrait encore augmenter le mois prochain, vu que le moratoire qui avait été mis en place, il y a quelque temps, a expiré. Ci-dessous le lien de l'article ainsi qu'une vue Google Earth des maisons, terrains et autres récupérés par les banques.

http://www.businessinsider.com/foreclosure-radar-moratorium-2011-2

http://www.businessinsider.com/satellite-tour-foreclosure-cities-2011-1#20-boise-idaho-1-in-21-homes-in-foreclosure-the-red-dots-show-foreclosures-1     

Les crédits à titre collectif et nationaux pour renflouer les économies des états suivent le même schéma et ont donc pour but via les impôts et taxes de pomper l'argent individuel tout en asservissant politiquement  lesdits états aux banques. La naissance de l'impôt sur le revenu aux Etats-Unis fut une des innombrables conséquences de la création de la FED.


Depuis le 6 Janvier 2011, la FED est en faillite. 

En fait, elle fonctionne à l'image d'une société dont les gérants et/ou associés retirent tous les bénéfices et même les fonds propres. En fait tout l'argent qui rentre dans les caisses est retiré de sorte qu'elle ne puisse même plus assurer les charges courantes ! 

Ce qui a pour résultat que la société est en faillite. 

Là, c'est exactement la même chose, les banquiers apatrides ont retiré tout l'argent des comptes de la FED direction leurs comptes personnels. 

Aussi maintenant, la FED est placée sous la protection du Trésor américain !  

http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml? num=a70f5241d1d16d0a859671db3ba305b2

Imaginez l'histoire : tout le produit des ventes d'une société dont le chiffre d'affaires colossal est versé sur ses comptes et retiré au fur et à mesure par ceux qui la détiennent.

De surcroît, elle ne paie NI IMPÔT NI TAXES !   

Sauf qu'une société "normale" n'a pas le droit de faire cela, enfin ses dirigeants. Ils ont des  obligations fiscales et juridiques, et une responsabilité pénale. Sans parler des impôts, taxes et autres charges que la société doit assumer. 

Or nous avons vu que la FED est au-dessus des lois, elle peut donc faire ce qu'elle veut comme elle veut quand elle veut car elle a pris le contrôle sur les pays et les gouvernements.    

Les recettes de la FED sont générées par les intérêts prohibitifs des prêts qu'elle a fait et continue de faire aux différents gouvernements des pays via les banques centrales, mais aussi aux banques "privées" etc. 

Le résultat est que c'est toujours le consommateur final qui paie d'une manière ou d'une autre, le plus souvent par les impôts et taxes, et remplit donc les caisses et les comptes de la FED. 

Autrement dit et encore une fois, ce sont les nations qui par leur travail remplissent les caisses des banquiers apatrides ! 

Donc, cette annonce de faillite est une nouvelle mise en scène pour le prochain 11/09 que les banquiers apatrides  préparent afin de faire basculer les Etats-Unis et le monde entier dans la dictature.     

L'objectif est de mettre les états à genoux afin qu'ils implorent l'aide des banques et qu'ils soient aux ordres desdites banques.

Quant aux personnes, de plus en plus nombreuses, qui se retrouvent sans travail, sans logement et sans pouvoir même se nourrir, elles accueilleront toute situation qui les sortira de leur misère avec soulagement et n'hésiteront pas une seconde.

En conséquence, le dégoût, l'écoeurement, la répugnance des populations générés par la corruption massive qui se dévoile chaque jour,  sert les intérêts des banquiers apatrides puisque les propositions de solution à ce mal seront les bienvenues pour les masses afin de sortir de là, à tout prix.

Le problème crée la réaction qui ne demande qu'une solution.

Et les problèmes sont TOUJOURS créés par les apatrides pour leur bénéfice au détriment des nations.        

Les banques, le FMI, toutes les organisations mondiales et consorts sont entre les mains des apatrides. Il y a fort à parier qu'ils vont, d'ici peu, utiliser cette situation pour imposer un gouvernement mondial.  

Au bout du compte, c'est la ruine et la dissolution des nations et populations pour un état mondial avec une gouvernance mondiale.

Quant à l'argent liquide, il est désormais malvenu et suspect. Le but est de le retirer totalement de la circulation afin que toute transaction se fasse par carte bancaire, qui, elle, est "traçable" et donne toutes les informations nécessaires sur son propriétaire (profil psychologique, statut social, goûts, choix, idées etc).

L'étape suivante étant la puce électronique qui, elle, permettra en plus de traquer l'humain (enfin ce qu'il en restera) dans ses moindres faits et gestes.....          

Voici un lien qui vous envoie chaque samedi, lorsque vous êtes inscrit, les informations de la semaine écoulée. Elles sont compilées par Edward Griffin qui est l'auteur de  The Creature of Jekyll Island  qui parle du système de la Réserve Fédérale et de bien d'autres ouvrages.

http://www.realityzone.com/currentperiod.html

Il est indéniable que la création d'une société uniquement basée sur l'argent et les richesses, donc purement matérielle et entièrement contrôlée par les banquiers apatrides, allait contribuer à couper les êtres humains de tout leur capital et potentiel divin de naissance qui, à l'inverse du pouvoir apatride, est d'essence spirituelle, pour les asservir avant l'étape finale qui consiste à les détruire.

C'est aujourd'hui presque chose faite. Nous vivons dans une société où il n'y a que l'argent qui compte.

Votre valeur est fonction de votre compte en banque. Pour l'instant, puisque le but c'est évidemment qu'il ne reste plus un centime aux mains des gens. Le processus est déjà bien enclenché comme nous le glisse habilement Jacques Attali dans un de ces derniers livres  Tous ruinés dans 10 ans ?

Non, Jacques Attali n'est pas prophète en matière économique ni dans tout autre matière d'ailleurs, il est simplement banquier apatride donc bien sûr au coeur de ce qui se trame.        

La façon dont les choses se sont mises en place est totalement dramatique puisque ce sont les gens qui, de quelque côté que l'on se tourne, financent leur propre destruction.

Le but des apatrides, ennemis de l'humanité, est de faire de l'humain un être matériel, rationnel et limité. Au contraire de sa nature divine qui est spirituelle, intuitive et illimitée.

Donc la solution pour la race humaineest d'ordre spirituel : elle consiste à développer leurs pouvoirs psychiques et SURTOUT rejoindre leur  VÉRITABLE DIEU ET CRÉATEUR  qui n'est en aucun cas le dieu de haine et de cruauté prêché par certaines religions monothéistes..

III - LE RÔLE DES BANQUIERS DANS LES GUERRES ET RÉVOLUTIONS...ET PLUS GLOBALEMENT DANS TOUTE  LA POLITIQUE  MONDIALE   

Il est évident qu'il n'y aurait jamais eu de Première Guerre Mondiale si la Réserve Fédérale n'avait pas existé. En fait, l'entrée des Etats-Unis dans cette guerre avait parmi ses multiples avantages, celui d'obliger le gouvernement américain à contracter des prêts très importants pour financer la guerre, prêts qui enclenchaient la spirale infernale de la dette inextinguible.      

Avec le déclenchement de la Première Guerre mondiale, la Grande-Bretagne fut forcée d'abandonner l'étalon-or et d'autres nations lui emboîtèrent rapidement le pas. La Réserve Fédérale émit très vite de l'argent pour financer le coût de la guerre, car elle était mieux placée que le Trésor pour émettre des obligations de guerre. Elle en est ainsi devenue le fournisseur principal sous la direction du Trésor. Après la guerre, la Fed, dirigée par Paul Warburg et le gouverneur de la banque de New-York, le président Benjamin Strong, convainquirent le Congrès de modifier ses pouvoirs, en lui donnant la possibilité à la fois de créer et de détruire de l'argent.

"J'étais l'homme de confiance de Henry Morgenthau, Sr., qui était président de la commission des finances, et j'étais agent de liaison entre lui et Rollo Wells, le trésorier. Aussi, je me tenais assis à ces réunions avec le président Wilson en tête de table, et tous les autres, et que j'entendais répéter inlassablement au Président Wilson l'impôt progressif sur le revenu, ce qu'était devenue la Réserve fédérale, et aussi comment ils l'endoctrinaient avec le mouvement sioniste."

"Justice Brandeis et le Président Wilson étaient comme les deux doigts de la main et Woodrow Wilson était aussi incompétent à comprendre ce qui se passait qu'un nouveau-né. C'est comme cela que nous fûmes entraînés dans la Première Guerre Mondiale, pendant que nous dormions tous. Ils envoyèrent nos fils se faire massacrer. Pour quoi ? Pour que les Sionistes puissent avoir la Palestine comme nation. Ils vous ont tellement berné que vous ne savez même plus où vous en êtes." 

"Les Sionistes de Londres envoyèrent des cables à Justice Brandeis aux Etats-Unis " Allez travailler le  Président Wilson. Nous sommes en train d'obtenir de l'Angleterre ce que nous voulons. Maintenant, allez de votre côté convaincre le Président Wilson afin que les Etats-Unis entrent en guerre. " 

La Première Guerre Mondiale était commencée depuis deux ans et l'Allemagne sur le point de gagner lorsque les Sionistes mirent tout en oeuvre pour impliquer les USA et finalement vaincre. Des Etats-Unis qui n'avaient, véritablement, aucun intérêt à entrer en guerre.

En fait, les banquiers apatrides ont toujours tout fait pour détruire et humilier l'Allemagne.

La Seconde Guerre mondiale apparaît, pour moi aujourd'hui après toutes mes lectures, mon analyse et mon vécu personnel comme étant l'évènement majeur qui empêcha le continent européen de basculer dans le totalitarisme  communiste.

Les Allemands et Hitler nous ont protégé du risque de tomber aux mains de ces pestilences de communistes. Il est extrêmement difficile d'y voir clair dans ce jeu de forces complexes mais une chose est par contre tout à fait sûre ; quand les banquiers apatrides s'en prennent à ce point à une nation et/ou à un homme, c'est que vraiment il(s) représente(nt) un réel danger pour eux et qu'ils doivent le détruire pour leur propre survie.

Et visiblement, ils n'ont toujours pas relâché la pression.

En août 1933, Samuel Untermeyer, président du  World Jewish Economic Federation  appela les leaders juifs du monde entier à déclarer la guerre à l'Allemagne au nom des Juifs... Il déclara lors d'un discours à la radio que les Juifs du monde avaient déclaré la guerre à l'allemagne et affameraient les Allemands jusqu'à ce que mort s'ensuive.

Le journal sioniste hollandais  Centraal-Blaad Voor Israeliten  déclare le 13 septembre 1939 "Les millions de Juifs qui vivent en Amérique, en Angleterre, en France, au Nord et Sud de l'Afrique, sans oublier ceux de Palestine, sont déterminés à mener une guerre d'annihilation contre l'Allemagne jusqu'à sa destruction finale".   

The Chicago Jewish Sentinel  du 8 octobre 1942 déclara : "La Seconde Guerre Mondiale est menée pour la défense des fondamentaux du Judaisme ". 

Vladimir Jabotinsky, Sioniste communiste, fondateur de l' organisation terroriste  Irgun,  écrivit dans le numéro de janvier 1934 de  Natcha Retch  " Le combat contre l'Allemagne est mené depuis des mois par chaque communauté juive, conférence, organisation commerciale, par chaque Juif du monde....Nous allons lâcher une guerre spirituelle et matérielle du monde entier contre l'Allemagne. L'ambition de l'Allemagne est de devenir à nouveau une grande nation, de reconquérir ses territoires et ses colonies perdues.

D'un autre côté, nos intérêts juifs exigent la destruction totale de l'Allemagne. La nation allemande est collectivement et individuellement un danger pour nous, Juifs. "        

Cela pouvait-il être dit plus clairement ? Les faits sont clairs et nets  - l'Allemagne et les Allemands, avec ou sans Hitler étaient et sont une menace pour la domination mondiale des Sionistes et leur projet de détruire la race humaine.."

L'ironie, comme le note William Engdahl, lui-même Allemand, dans son livre  Gods of Money  est que le cerveau du montage juridico financier de la Fed,  Paul Warburg était un Sioniste dit 'allemand' et que c'est à cause de lui, que les Américains financèrent la première guerre mondiale via la Reserve Fédérale qui allait voir la défaite de l'Allemagne.

Encore aujourd'hui en 2011, le gouvernement allemand, qui n'a malheureusement plus son indépendance, a décidé de doubler le montant des allocations aux survivants de la Shoah pour l'année 2011, selon le vice-président de la  Claim Conférence  (comité des réparations), Shlomo Gour. Le montant des indemnisations passera de 55 millions d'euros à 110 millions d'euros. Cette somme sera transférée au budget des services sociaux pour les rescapés de la Shoah qui sont encore 520000 personnes dans le monde, dont la moitié réside en Israel.

Ben Klassen n'est pas le seul à révéler les véritables motifs des deux guerres mondiales du 20ème siècle. Ils sont désormais légion. Et ça continue; toutes les guerres menées depuis, le sont pour défendre les intérêts sionistes et leur permettre de faire progresser leur objectif de contrôle mondial, en même temps que la destruction totale et systématique de l'humanité.

Il fallait à la fois qu'ils modifient la donne géopolitique du monde en raflant au passage toutes les richesses de la planète, tout en détruisant l'humanité et les vestiges de la véritable histoire.

Malheureusement, les Britanniques et plus largement les Anglo-Saxons tombèrent les premiers dans le piège et envoyèrent leurs enfants se faire tuer pour les Sionistes. Les Britanniques et les Américains n'auraient jamais dû être impliqués dans ces guerres, elles ne les concernaient pas; c'est leur classe dirigeante, l'aristocratie britannique qui, peut-être plus vénale que les autres, se fit acheter par les Sionistes et servit de façade au programme politique sioniste.

Mais c'est la Révolution Russe, financée par les banquiers apatrides, qui créa l'opportunité de manifester la prophétie biblique de Sion (création de l'état d'Israel). Karl Marx, un Sioniste dénommé Mordechai Levi, allait catalyser l'événement grâce à son Manifeste.

Jacob Schiff, le richissime banquier sioniste new-yorkais, finança la révolution russe en dollars-or que le Sioniste Trotsky (dont le vrai nom est Bronstein) déposa ensuite dans une banque Warburg pour être transférés en Russie, via la Suède. Il épousa d'ailleurs une fille Warburg.  

En 1917, les Rothschild ordonnèrent aux Bolchéviques qu'ils contrôlaientt, l'exécution du Tsar Nicolas II et de toute sa famille, pourtant le Tsar avait déjà abdiqué le 2 mars. Ils commirent cet acte pour prendre d'une part le contrôle du pays et d'autre part pour se venger du Tsar Alexandre I qui avait bloqué leur plan de gouvernement mondial en 1815 au Congrès de Vienne, et de Nicolas II qui avait pris le parti de Lincoln en 1864.  

"Depuis l'époque de Spartacus-Weishaupt (célèbre agent Rothchild) à celle de Karl Marx, en passant par  Trotsky (Russie), Bela Kun (Hongrie), Rosa Luxembourg (Allemagne ), et Emma Goldman (États-Unis), cette conspiration mondiale pour le renversement de la civilisation et pour la reconstitution de la société sur la base d'un arrêt du développement, d'une malveillance envieuse, et d'une impossible égalité, n'a cessé de croître. Elle a joué, comme un écrivain moderne, Mme Webster, l'a si bien montré, une partie définitivement reconnaissable dans la tragédie de la Révolution française, elle a été la cheville ouvrière de chaque mouvement subversif au cours du dix-neuvième siècle; et maintenant, enfin, cette bande de personnalités extraordinaires de la pègre des grandes villes d'Europe et d'Amérique a empoigné  le peuple russe par les cheveux et est devenue pratiquement le maître incontesté de cet énorme empire." 

Winston Churchill.